Le diable est sorti de la boîte

L’antisémitisme, la Palestine, la paix, La Haye, non, ce ne sont pas les raisons réelles derrière cette émergence du bouffon de la boîte. Et ce bouffon ne peut être que le diable, qui s’est mis à l’œuvre depuis quelques décennies à foutre le monde dans une pagaille que peu ont deviné ou simplement entrevu.

Le travail de sape des pays occidentaux et démocratiques ne s’est pas fait de par lui-même, mais résultait de la soif d’un grand nombre d’oligarchies dont l’objectif réel est de maîtriser les habitants de toute la planète… alors, ils se servent de tous les outils que les simples d’esprit ont mis à leur disposition… dont :

La démocratie en premier lieu : L’épée tranchante du multiculturalisme, la diversité, une prétendue intention d’une division équitable des ressources mondiales aux populations, celles notamment qui ne réussissent pas à s’extraire d’une pauvreté endémique.

Épée qui possède différentes lames, dont l’abolition des frontières et l’immigration qui permettront au tiers-monde de se déverser chez les eldorados occidentaux.

Dans cette marée mouvante et ininterrompue, se sont glissés des islamistes radicaux ou opportunistes, qui n’attendaient que cette faille, cette veine, cette erreur pour s’imposer ou devenir l’idiot utile de ces nouveaux maîtres du monde. Mais, ils étaient sur cette voie depuis longtemps, depuis les pétrodollars et leur infusion dans les pays occidentaux… l’achat des institutions, des chefs d’État, des ambitieux, des sans foi, ni loi…

Le premier indice/échantillon d’une possibilité de maîtriser tous les habitants de la planète, s’est concrétisée grâce au coronavirus et son vaccin…

Pour une fois, tous valsaient sur les mêmes sons de flûte. Tous se sont fait vacciner, sans nul besoin du procédé régulier nécessaire avant l’autorisation de l’inculquer… Trop tard, ceux qui voulaient connaître l’étendue de leur puissance venaient de s’en assurer.

Mais le monde n’est qu’au début de sa perte. Il va devoir passer par une islamisation rampante qui se déclare déjà au sein des pays occidentaux. Ceux qui se voient aujourd’hui choisir le mauvais camp et acceptent les lois/joug de l’Islam avant d’être complètement avalés. La démocratie aidant, les votes, le besoin d’arracher le pouvoir, mèneront les occidentaux à se plier aux exigences de ceux qui, hier seulement, hantaient leurs frontières avant de devenir les maîtres de tous les biens et possessions de l’hébergeur bénévole.

Eh oui, il frappe et frappe dur ce pauvre migrant affamé qui vint frapper à vos portes. Il vole, viole, tue, brûle, vandalise… Mais non, voyons, c’est sa culture, c’est sa façon de voir le monde… Il veut tout pour lui et il l’aura grâce à sa barbarie, sa violence, son glaive, son NOMBRE. Et il grossit et s’impose au point qu’il devient impossible de le confronter.

Alors, on abandonne Israël à cette meute de vautours, d’assassins, de criminels, de barbares.

On ferme les yeux sur la justice, surtout celle de La Haye. On accepte et confirme la création d’un État, sans en être un… On laisse tomber la vérité, la justice, la droiture, l’honnêteté, la noblesse, pour glisser dans le chantage, dans la torsion de bras du plus faible, pourvu que l’on puisse survivre.

Car c’est bien ce que fait l’Occident de nos jours. Il tente de survivre à ses propres erreurs… Il sait qu’il trébuche, qu’il a renié tout ce dont il était fier, hier… C’est un gueux, un pleutre, un mendiant qui s’aplatit et lèche les babouches des nouveaux maîtres…

Vous n’avez rien appris, chers Occidentaux… fuir le mal ne le fera jamais disparaître… Il faut lui faire face.

C’est ce qu’Israël fait vaillamment et paie le prix du sang de ses enfants. S’il reste quelque chose de décent en ce bas-monde, c’est Israël qui tente de nous le prouver.

AM ISRAËL HAY.

Thérèse Zrihen-Dvir.