George Soros finance PARCEO (Centre d’éducation et de recherche sur l’occupation et la paix dirigé par des Palestiniens et des Juifs), une organisation radicale qui propose un « curriculum sur l’antisémitisme » pour élèves de la maternelle à l’université destiné à démontrer que l’antisémitisme est un mythe fabriqué par des juifs paranos qui agitent la fibre victimaire.
L’Open Society Foundations (OSF)de Soros a accordé 50 000 $ à PARCEO, dirigée par des militantes anti-Israël associées à l’organisation islamiste d’origine libanaise Jewish Voice for Peace, et dont le programme a suscité des polémiques dans des écoles publiques de New York et de Californie, notamment en soutenant le Hamas dans la guerre contre Israël.
Critiquée pour présenter l’antisémitisme comme un instrument utilisé par des partisans d’Israël pour réduire au silence la « cause palestinienne », la formation compte parmi ses conseillers des personnes liées à Samidoun — groupe associé au terrorisme et sanctionné par les États-Unis comme une façade du Front populaire de libération de la Palestine — et à des militants ayant soutenu des actions violentes contre les Juifs et les Israéliens.
L’American Jewish Committee juge le curriculum « bizarre et radical », citant des affirmations sur le signalement des crimes haineux.
- Sur le signalement des crimes haineux contre les Juifs :
Le curriculum affirme que « les Juifs exagèrent souvent les incidents antisémites pour obtenir de la sympathie ou des financements », et suggère que le signalement systématique de ces crimes est une « stratégie de victimisation » plutôt qu’une réponse légitime à la haine. - Minimisation des statistiques sur l’antisémitisme :
Un module déclare que « les chiffres sur l’antisémitisme aux États-Unis sont gonflés par des organisations juives comme l’ADL (Anti-Defamation League) pour justifier des politiques pro-israéliennes ». - Lien entre antisémitisme et critique d’Israël :
Le programme enseigne que « accuser quelqu’un d’antisémitisme pour critiquer Israël est une tactique de censure », et propose des exercices où les élèves doivent « déconstruire » les plaintes pour antisémitisme comme étant « fabriquées ». - Sur les symboles et stéréotypes :
Un exemple bizarre cité : le curriculum compare le port de la kippa à un « signal d’allégeance politique » plutôt qu’à une pratique religieuse, et affirme que signaler des graffitis antisémites (comme des svastikas) est « souvent exagéré » si cela ne cible pas explicitement des Juifs.
OSF défend ses subventions, affirmant vouloir combattre l’antisémitisme par l’éducation ; elle a aussi financé d’autres organisations pour contrer « l’instrumentalisation de l’antisémitisme ».
Là où vous pouvez commencer à vous inquiéter, c’est que des militants français risquent de tenter d’inclure ce « curriculum sur l’antisémitisme » dans les programmes scolaires de l’Education nationale, afin de « lutter contre l’antisémitisme ».
Les données officielles du FBI sur les crimes haineux montrent une hausse de 400 % des incidents antisémites depuis 2022.
