L’ancien ambassadeur d’Israël aux États-Unis prédit qu’Israël « va prendre son destin en main » concernant l’Iran

An Iranian missile that state media says is a Sejil 2 surface-to-surface missile is seen in front of a banner with a picture of Iran's Supreme Leader Ayatollah Ali Khamenei, at an unknown place in Semnan, 228 km (142 miles) east of Tehran, May 18, 2009. The words on the banner read, "We are alive and we are warriors". President Mahmoud Ahmadinejad said on Wednesday Iran had tested a missile that defense analysts say could hit Israel and U.S. bases in the Gulf. State television on Wednesday showed a similar Sejil 2 missile soaring into the sky. Picture taken May 18, 2009. REUTERS/Fars News (IRAN MILITARY POLITICS) QUALITY FROM SOURCE. FOR EDITORIAL USE ONLY. NOT FOR SALE FOR MARKETING OR ADVERTISING CAMPAIGNS

L’ancien ambassadeur d’Israël aux États-Unis, Michael Oren, a déclaré qu’il était très probable qu’Israël agisse seul, si nécessaire, pour empêcher l’Iran de continuer à développer sa capacité nucléaire.

« Avec toutes les terribles décisions morales en jeu, je pense qu’Israël prendra son destin en main », a déclaré Oren lors d’une interview avec le journalistes conservateur américain John Solomon.

Oren a expliqué que la situation était très similaire à celle de la guerre des Six Jours en 1967.

« Cette situation est très similaire à ce qui existait il y a plus de 50 ans, à la veille de la guerre des Six Jours, lorsqu’Israël était entouré d’armées arabes », a déclaré Oren. « Aucune de ces armées n’a tiré un coup de feu sur Israël. Mais les dirigeants israéliens ont compris que s’il y avait une attaque terroriste, et qu’Israël décide de répondre à cette attaque terroriste, toutes les armées nous tomberaient dessus. »

Il a illustré cette similitude en expliquant pourquoi, si l’Iran obtient la capacité nucléaire, ce sera un gros problème :

« Si l’Iran a une capacité nucléaire, et qu’il y a une attaque terroriste depuis le Liban – nous nous défendrons, et l’Iran nous enverra une bombe nucléaire », a expliqué Oren.

« En 1967, c’est Israël qui a commencé la guerre, a-t-il poursuivi. « Personne ne nous avait encore tiré dessus. Et nus avons d’abord détruit l’armée de l’air égyptienne. C’est donc une situation très similaire à celle de juin 1967. En 2022, les enjeux sont d’une certaine manière encore plus élevés. Je pense qu’Israël va devoir prendre des décisions très sérieuses et fatidiques. »

© Equipe de rédaction Israel247.org.

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