La nouvelle campagne de la gauche : Censurez les politiciens dont nous n’aimons pas les propos

Député Ben Gvir

Standing Together a recueilli des centaines de signatures de personnes demandant que les médias cessent d’interviewer le député Itamar Ben Gvir.

L’organisation de gauche radicale « Standing Together », qui est financée, entre autres, par le New Israel Fund de George Soros (je ne vous surprend pas, il est dans tous les sales coups) et des fonds allemands, a lancé une campagne demandant que le président du parti Jewish Power, le député Itamar Ben Gvir, soit interdit des médias.

Dans le cadre de cette campagne, sous le titre « Ne donnez pas de tribune à Ben Gvir », l’organisation Standing Together qualifie d' »incitation » l’activité du député Ben Gvir. »

« Le procès du policier qui a tué Iyad al-Khalak, le jeune Palestinien handicapé, a débuté ce matin », peut-on lire sur la page de la campagne. « Nous sommes venus au tribunal pour être solidaires de la famille d’Iyad et de la justice pour le jeune homme autiste qui est mort de la manière la plus triste qui soit. »

Selon eux,

« Devant sa famille se tenait le député Itamar Ben Gvir, accompagné d’un groupe violent de manifestants, qui a demandé l’annulation du procès et a qualifié le meurtre d’Iyad d »acte d’héroïsme' ». « Politiquement, c’est l’un des moments les plus tristes que l’on puisse imaginer. Une dépression humaine et morale. Comment cet homme peut-il être membre de la Knesset ? Comment se fait-il qu’il soit invité dans les studios de télévision presque tous les jours ? »

Ils ont exigé de cesser de lui offrir une audience.

« Nous devons arrêter l’incitation de Ben Gvir », lisaient-ils. « Joignez-vous maintenant à l’appel lancé aux chaînes 12 et 13 et ici 11 et aux stations de radio : Arrêtez de donner une visibilité à cette personne illégitime. Arrêtez d’interviewer Ben Gvir, arrêtez de laisser son racisme et son incitation s’exprimer sur les plateaux de télévision. Les médias doivent prendre leur responsabilité et l’annoncer : Nous arrêtons d’inviter Gvir pour des interviews. « Il y a de la place pour les controverses politiques, pour les arguments, mais il n’y a pas de place pour les racistes qui ont franchi toutes les frontières et ont perdu leur image humaine. »

Shai Glick, PDG de B’Tselem – oui vous avez bien lu – a déclaré qu’il était ridicule que cette organisation qui tient un discours de haine et diffuse des calomnies sur la « violence des colons » soit celle qui parle de censurer le discours.

J’ai toujours soutenu le droit des organisations israéliennes les plus extrémistes, les plus hostiles à Israël, les plus venimeuses contre les juifs, le parti Meretz inclus, à s’exprimer librement, car elles apportent la preuve qu’Israël est une démocratie et respecte la liberté d’opinion.

Par leur demande de censure de , les extrémistes de gauche de Ben Gvir montrent qu’ils sont totalement contre la liberté d’expression, ce qui ne doit pas surprendre : la racine de l’idéologie de gauche est le communisme, qui n’autorise pas la libre opinion.

Je rappelle à ces candidats à la dictature que la liberté d’expression n’est pas faite pour protéger la controverse politique et les arguments, mais les propos les plus dégueulasses, tant qu’ils n’incitent pas à tuer ou à violenter des gens.

Tout le monde n’est pas obligé d’aimer ça, d’aimer la liberté d’expression, mais si elle est limitée aux propos acceptables, désolé de vous dire qu’elle n’existe alors plus.

© Equipe de rédaction Israel247.org.

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Source : https://www.inn.co.il

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