Le scandale du lycée Herzliya, dont le directeur a autorisé les activités des élèves qui refusent de servir dans l’armée, ne s’est pas estompé.
Lors du premier événement, une lettre a été lue par des diplômés de différentes écoles en Israël qui refusent de servir dans l’armée sous le gouvernement actuel, ou parce que « l’armée opère brutalement en Judée et en Samarie ».
Le deuxième événement était une rencontre entre des lycéens et le forum israélo-palestinien des familles arabes endeuillées.
Deux jours plus tard, le directeur Ze’ev Dgani a démissionné, mais les élèves et leurs parents l’ont persuadé de revenir.
Jeudi soir, l’administration de l’école a été convoquée à une audience au ministère de l’Education. Une lettre envoyée par Meir Shimoni, directeur général par intérim du ministère de l’Education, indique que l’école a violé les termes de la licence et du budget qui lui ont été accordés.
Le ministère avait auparavant menacé de retirer à l’école son financement et sa licence.
La lettre indique :
« Il est déconcertant qu’une institution sioniste aussi importante accueille un événement qui encourage le refus de s’engager dans l’armée, ce qui est contraire à la loi et aux objectifs de l’éducation publique ».
Les post-sionistes se positionnent toujours aux points stratégiques : l’éducation permet très tôt de faire un lavage de cerveau chez les jeunes.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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