Un sale type. Immense cinéaste, mais sale type. Jaloux, rabougri, plein de haine et grand artiste. Tiens parlons-en, de la haine de Godard, puisque dans notre monde orwellien, les médias et les réseaux sociaux censurent avec la haine aux lèvres ceux qui sont accusés de propos de haine.
Lorsqu’on lui demande ce qu’il pense du dernier film de Steven Spielberg, sans aucun doute un immense cinéaste, il répond, avec la méchanceté des frustrés : « Spielberg ? Qui est-ce ? »
Ce n’était pas la moindre de ses attaques contre les juifs.
- En 2010, la Zionist Organization of America (ZOA, organisation sioniste américaine) a qualifié Godard d' »antisémite virulent », affirmant que Godard avait fait des commentaires antisémites et utilisé un langage antisémite dans ses films. Des organes de presse juifs ont eux aussi formulé des accusations selon lesquelles le cinéaste était un antisémite.
- Tout cela s’inscrit dans le cadre de l’activisme pro-palestinien de Godard (il n’existe pas d’activisme pro-palestinien, seulement un activisme anti-juifs d’Israël, puisque lorsque les « Palestiniens » se font massacrer en Syrie, les activistes pro-palestiniens s’en fichent et ne pipent pas mot).
- Son film d’essai de 1976, « Ici et ailleurs » contient des représentations positives des terroristes arabes, et il compare Golda Meir à Hitler, en superposant en alternance la photo de l’un et de l’autre.
- Godard avait déjà commenté que son grand-père « était anti-juif ; alors que je suis antisioniste, il était antisémite. » Et en 2018, il a prêté son nom au boycott par les cinéastes d’un événement français célébrant le cinéma israélien.
- Il a critiqué des films sur l’Holocauste tels que La liste de Schindler et Shoah, comme c’est étrange, mais promis juré, seulement pour des raisons artistiques.
- Une fois il a traité un ami de « sale juif » et, après qu’un collègue lui ait demandé des arriérés de salaire impayés, il lui a répondu : « C’est toujours pareil, les juifs vous appellent quand ils entendent une caisse enregistreuse s’ouvrir ».
- Dans une interview de 1985, Godard a parlé de « l’image du juif d’Europe centrale » comme étant une partie du problème d’Hollywood.
Godard a admis un jour que son grand-père avait « férocement » détesté les Juifs.
« Il était anti-juif ; alors que je suis antisioniste, il était antisémite », a déclaré un jour le réalisateur.
https://www.theguardian.com/film/2010/nov/14/jean-luc-godard-oscar-antisemitism
Nous savons depuis que l’antisionisme est le procédé moderne pour dissimuler sa haine des juifs.
En quoi Godard est-il différent de, par exemple Jean-Marie Le Pen ou Dieudonné ?
- Godard a traité le producteur Pierre Braunberger de « sale juif » (1), et je ne vais pas vous surprendre, il a fait l’éloge du massacre des athlètes israéliens lors des J.O. de Munich en 1972 (2).
- Dans Morceaux de conversations avec Jean-Luc Godard, un documentaire d’Alain Flescher, Godard déclare pendant le tournage :
« les attentats-suicides des Palestiniens pour parvenir à faire exister un Etat palestinien ressemblent en fin de compte à ce que firent les juifs en se laissant conduire comme des moutons et exterminer dans les chambres à gaz, se sacrifiant ainsi pour parvenir à faire exister l’Etat d’Israël »
- Jean-Luc Douin, auteur de Godard : Dictionnaire des passions, rapporte ces propos du cinéaste qui évoquait Hollywood :
« Ce business « inventé par des gangsters juifs ».
Godard, Dieudonné
La thèse de Jusqu’à la victoire [film tourné en 1970 en Jordanie pour les « Palestiniens »] est que l’État d’Israël fait subir aux Palestiniens ce que les juifs ont souffert de la part des nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. C’est la thèse classique, raciste et antisémite de l’extrême gauche française pro-palestinienne, islamo-gauchiste et antisioniste, que Godard formule très clairement :
« Les juifs font aux Arabes ce que les nazis ont fait aux juifs. »
https://www.lepoint.fr/culture/godard-par-de-baecque-antisioniste-ou-antisemite-extrait-7–09-03-2010-431613_3.php
Godard faiblard
Quand on lui demande de commenter ses remarques antisémites, Godard fait cette réponse débile, hypocrite et faiblarde.
Le journaliste demande :
- Une fois de plus, les journaux juifs débattent de la question de savoir si vous êtes ou non un antisémite. Cela vous fait-il mal ?
Il botte en touche, ne répond pas et dit :
C’est n’importe quoi ! Que signifie « antisémite » ? Tous les peuples de la Méditerranée étaient sémites. Donc antisémite signifie anti-méditerranéen. L’expression n’a été appliquée aux Juifs qu’après l’Holocauste et la Seconde Guerre mondiale. Elle est inexacte et ne signifie rien. »
https://landscapesuicide.blogspot.com/2010/11/everything-or-nothing-2.html
Godard, j’irai cracher sur ta tombe (et je reverrais tes films).
© Jean-Patrick Grumberg pour Israël 24 7.org
- https://forward.com/culture/132013/are-they-giving-an-oscar-to-an-anti-semite/
- https://www.thedailybeast.com/jean-luc-godards-oscar-hollywoods-attack-on-the-jews?ref=author
Nombreux sont les films de ce cinéaste que je n’ai pas vu. Après avoir lu cet article,je n’en ai même plus envie.
Bref jean luc connard….!bon debarras.
Godard, un type « A bout de souffle » , un genre de » Pierrot le Fou » , à traiter par « Le Mépris » qui « Hélas pour moi » n’a pas passé quelques mois en prison pour antisémitisme purulent .
Vous êtes pénibles: dire que l’antisionisme est de l’antisémitisme déguisé est inadmissible et vous interdit toute remise en question sur les excès éventuels de l’extrême droite Israélienne qui est critiquable à bien des égards ! Je suis antisioniste MAIS EN AUCUN CAS antisémite !J’avais une amie Juive et j’ai adoré plusieurs confrères Juifs!
Cela étant je partage tout ce que vous dîtes sur JLG dont le parallèle entre Munich et la déportation des Juifs est ignoble , inadmissible et lui retire tout crédit
« dire que l’antisionisme est de l’antisémitisme déguisé est inadmissible »
Inadmissible par vous je veux bien l’entendre. Mais vous avez tort. C’est même devenu la définition officielle de gens qui ne sont pas spécialement des amis des juifs et d’Israël, comme le président Macron.
La définition de travail de l’antisémitisme (également appelée Définition de l’antisémitisme de l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste ou définition de l’IHRA) qui établit ce parallèle entre antisémitisme et antisionisme, et définit pour la première fois de manière universelle ce qu’est l’antisémitisme, a été adoptée par 31 pays.
« vous interdit toute remise en question sur les excès éventuels de l’extrême droite Israélienne »
L’extrême gauche israélienne ne peut pas être coupable d’excès ?
Avez-vous une seule fois lu les articles que nous publions, ou arrivez-vous directement de Pluton sans escale ? La politique israélienne est constamment mise en question, que ce soit dans les médias occidentaux, ou dans la presse israélienne. Vous inventez un lien entre l’impossibilité de critiquer Israël et la définition de l’antisionisme. Vous l’inventez car il n’existe dans aucune réalité, même virtuelle.
Enfin, les antisémites ont tous leur bon juif. Mon ami d’enfance, qui est antisémite, j’étais son bon juif. J’ai compris bien plus tard que son antisémitisme, c’est parce qu’il est pétri de jalousie envers les juifs. Chaque antisémite a son bon juif comme alibi. Le même alibi que les médias emploient lorsqu’ils interrogent un Israélien d’extrême gauche pour valider leurs mensonges anti-israéliens.
Pour terminer, la réalité est si claire sur le sujet qu’il n’y a que trois moyens d’être antisioniste : par antisémitisme, par inculture crasse, ou parce qu’on est totalement influencé par les médias. Choisissez le votre.
Ne vous en déplaise, il n’y a aucune différence entre ‘antisionisme’ et ‘antisémitisme’. Qu’on dispute aux Juifs une place dans la diaspora ou dans leur terre d’origine revient au même ; qu’on envoie leurs enfants aux fours crématoires ou qu’on les fasse exploser dans des écoles revient au même ; qu’on prêche leur extinction dans Mein Kampf ou dans la Charte du Hamas revient au même.
Et quant aux ‘excès éventuels de l’extrême droite israélienne’… faites pas rire! Citez-m’en un seul, je vous en prie. L’extrême droite israélienne, c’est le groupe d’Israéliens déterminés à se battre pour assurer la survivance de leur pays et de leur concitoyens… par exemple ceux qui sont intervenus lors du raid d’Entebbe.
Et puis évitez le poncif de vos ‘amis juifs’ : certains Français qui ont laissé arrêter sans lever le petit doigt, ou même dénoncé des Juifs à la gestapo en 1943-45 eux aussi se targuaient d’avoir des amis juifs dont ils lamentèrent la perte – après 1947, bien entendu.
Ce qui est pénible, pour nous Juifs ou non Juifs, c’est d’entendre des jobards tenter de justifier leur antisémitisme de fait sous le mythe de l’antisionisme.
Le sionisme jusqu’en 1948 à savoir la (re)naissance d’ Israël était le mouvement national juif pour la (re)création d’un Etat juif sur sa terre .Depuis 1948, le sionisme est le mouvement national juif pour le maintien de l’Etat juif Israël et l’antisionisme, c’est vouloir la destruction, la fin de cet Etat juif.
La critique des politiques du gouvernement israélien n’est pas de l’antisémitisme si cette critique utilise les mêmes critères que ceux utilisés pour critiquer les autres gouvernements . Souvent, la critique de la politique israélienne est antisémite car use du double standard à savoir un critère pour juger Israël et un autre pour les autres pays.
Mal nommer les choses, c’est ajouter au malheur du monde ! Albert Camus