Le ministère de la Santé a détecté trois cas probables d’infection à la variante Omicron chez des personnes n’ayant pas voyagé à l’étranger – en plus de quatre personnes de retour d’Afrique.
La décision de ferme le pays a donc été prise dans la nuit de samedi à dimanche.
Israël ferme ses frontières à tous les ressortissants étrangers pendant deux semaines en raison des craintes suscitées par la variante Omicron.
Les Israéliens qui rentrent dans le pays, y compris ceux qui ont été vaccinés ou se sont rétablis du coronavirus, devront s’auto-quarantiner à leur arrivée.
La bonne nouvelle est qu’aucune nouvelle restriction n’est imposée au niveau national, toutes les festivités de Hanoukka se dérouleront comme prévu.
Il n’y a qu’un seul cas génétiquement confirmé jusqu’à présent.
Le ministre de la Justice Gideon Saar, le ministre des Finances Avigdor Lieberman et le ministre de l’Éducation Ifat Shasha-Beeton se sont opposés à de nouvelles restrictions hâtives. La plupart ont soutenu l’ensemble des mesures convenues par Bennett et Horowitz.
La souche B.1.1.529, qui a été nommée Omicron en sautant cette fois deux lettres de l’alphabet grec, Nu parce que ça ressemble à New en anglais, et Xi parce que c’est un nom chinois courant – y compris celui du président communiste – a été découverte pour la première fois en Afrique du Sud le 9 novembre. Son apparition a coïncidé avec une nouvelle forte augmentation de l’incidence après trois vagues passées de COVID.
« Cette variante présente un grand nombre de mutations, et les données préliminaires indiquent un risque accru de réinfection des patients qui en sont atteints », par rapport aux autres souches.
En Afrique du Sud, un moyen de diagnostiquer rapidement l’option « omicron » sans séquençage génétique complet a été trouvé – un type de tests PCR, configuré pour reconnaître certains gènes de coronavirus, « ne voit pas » l’un des gènes analysés, et ce résultat de test avec « perte du gène S » permet de diagnostiquer la souche « omicron ».
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