Israël défend la Lumière contre les ténèbres, mais il est toujours à blâmer

© Paul Zerah, photographe

Alors que la gauche occidentale blâme Israël pour les actes barbares du Hamas, un journaliste saoudien a fustigé un dirigeant du Hamas au sujet de la brutalité des meurtres et des viols. Ce dernier osa affirmer que les auteurs de ces actes n’appartenaient pas au Hamas, alors que des vidéos tournés par les lâches de l’organisation terroriste islamiste prouvaient le contraire.

Un autre porte-parole du Hamas, interrogé sur les meurtres brutaux, retira simplement son micro et quitta le studio de la BBC.

La barbarie du Hamas d’une sauvagerie inouïe, d’une inhumanité atroce, filmée par ses sicaires, n’a rien à envier à celle des nazis ni à celle de l’Etat islamique, dignes successeurs des tortionnaires SS allemands.

Comment se justifier après avoir perpétré un tel massacre ? C’est simple : on blâme tout simplement les Juifs pour les horreurs infligées par les terroristes islamistes du Hamas aux innocents civils israéliens le 7 octobre 2023.

Les islamo-gauchistes occidentaux, qui soutiennent les «résistants» du Hamas et les glorifient pour avoir sans doute eu l’immense courage de massacrer d’innocents civils sans défense, sont une honte pour l’Humanité.

J’ai traduit et adapté l’article de Michael Brown, publié par FrontPage Mag intitulé «Israel is Always to Blame».

A sa question, en fin de l’article, je réponds : résolument du côté d’Israël, de la Lumière, de la Justice, du Droit du peuple juif de vivre en toute sécurité sur sa terre ancestrale, après une errance douloureuse et injustifiée de près deux mille ans.

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Au début des années 1990, Michael Brown assista à New York à un dîner parrainé par une fondation de Jérusalem, au cours duquel Henry Kissinger et Fouad Ajami débattirent sous la houlette de Dan Rather. (Ajami était un professeur d’université d’origine libanaise qui apparaissait souvent à la télévision en tant qu’expert du Moyen-Orient). À un moment de la soirée, le professeur Ajami fit cette remarque :

«quand Saddam Hussein utilisa du gaz neurotoxique contre son peuple, l’ONU brilla par son silence, quand Israël utilise des gaz lacrymogènes, il s’attire les foudres de la communauté internationale.»

De nos jours, c’est la même chose, mais en pire, bien pire !

Le 7 octobre dernier, le Hamas mena des attaques d’une cruauté, d’une férocité, d’une atrocité, plus jamais vues depuis les horreurs de l’Holocauste. Et qui fut blâmé dès le lendemain : Israël !

Dans une lettre intitulée «Déclaration commune des groupes de solidarité avec la Palestine de Harvard sur la situation en Palestine.», 31 organisations étudiantes – dont la section d’Amnesty International affiliée à l’Ivy League, the African American Resistance Organization, the Harvard Islamic Society and Harvard Jews for Liberation – ont condamné Israël.

«Nous, les organisations étudiantes soussignées, tenons le régime israélien pour entièrement responsable de toutes les violences qui se déroulent. L’attaque du Hamas ne s’est pas produite dans le vide : le gouvernement israélien a forcé les Palestiniens à vivre dans une «prison à ciel ouvert depuis plus de deux décennies».

Le régime d’apartheid est le seul à blâmer.

La violence israélienne structure chaque aspect de l’existence palestinienne depuis 75 ans. Des occupations illégitimes de terres aux frappes aériennes de routine, des détentions arbitraires aux points de contrôle militaires, des séparations familiales forcées aux assassinats ciblés, les Palestiniens ont été contraints de vivre dans un état de mort, à la fois lente et soudaine.

Aujourd’hui, le calvaire palestinien entre dans un territoire inexploré. Les jours à venir exigeront une position ferme contre les représailles. Nous appelons la communauté de Harvard à prendre des mesures pour mettre un terme à l’anéantissement des Palestiniens.»

Ces étudiants, totalement abrutis par la propagande pro-palestinienne, excusent le massacre atroce d’hommes, de femmes, de bébés, d’enfants, de jeunes gens, de personnes âgées sans défense. Ils ont choisi le camp du Mal et du terrorisme aveugle, persuadés d’être dans le camp du Bien. Leur manque total d’empathie envers les victimes des tueurs du Hamas reflète leur odieuse inhumanité.

Selon eux, ce ne sont pas les meurtriers, les égorgeurs, les bouchers, les pyromanes, les violeurs du Hamas, qui doivent être condamnés, mais le gouvernement israélien. Impitoyable et terrifiante inversion de la réalité !

Israël largue plus d’un million de tracts dans la ville de Gaza, exhortant les civils à fuir vers le Sud. Israël passe des dizaines de milliers d’appels téléphoniques – oui, des appels à des particuliers sur leurs téléphones – et envoie des dizaines de milliers de messages textuels disant : «Nous allons bombarder votre quartier. S’il vous plaît, sortez pour être en sécurité.»

Le Hamas, en revanche, exhorte ses membres à rester, les empêche de partir, en dressant des barrages routiers, en confisquant les clés de voiture et en tirant sur les gens pour les tuer. Les dirigeants du Hamas indiquent même clairement qu’ils se réjouissent de la mort de leur propre peuple.

En bref, Israël cherche à minimiser les pertes civiles à Gaza tandis que le Hamas cherche à maximiser les pertes civiles, mais Israël est coupable. et c’est lui qui doit être blâmé.

Comme l’écrit Brendan O’Neill sur le site web de Spiked :

«J’aimerais comprendre. Si Israël bombarde des cibles du Hamas à Gaza, il met imprudemment en danger la vie des civils. Mais s’il avertit les civils de s’éloigner de certaines zones, il se livre à un nettoyage ethnique.

Si Israël largue des bombes dans des banlieues, il commet un crime de guerre. Mais si Israël conseille aux civils de quitter ces banlieues avant que les bombes ne s’abattent sur elles, c’est aussi un crime de guerre. Si Israël attaque le nord de Gaza, c’est un génocide. Mais si Israël demande aux civils du nord de Gaza de partir en premier, il s’agit d’un «déplacement de population», donc d’un génocide.»

Quoi qu’Israël fasse, c’est un crime de guerre.

Le surréalisme de ces accusations de «génocide» à chaque fois qu’un soldat israélien prend son arme a été mis en évidence par deux titres de l’Independent de la semaine dernière, publiés à seulement dix heures d’intervalle. Israël se livre à une «punition collective à Gaza», affirmait le premier. Israël est accusé «de nettoyer ethniquement la bande de Gaza, alors qu’un million de personnes ont reçu l’ordre d’évacuer», a déclaré le second.

Mais bien sûr, Israël est toujours à blâmer !

C’est parce que l’esprit qui anime la diabolisation d’Israël est identique à celui qui anime la haine des Juifs en général.

La haine des Juifs est une tradition bien ancrée chez certains faux Chrétiens et dans l’islam. Ce sont toujours ces sales juifs/sionistes !

Et si vous pensez qu’il ne s’agit là que d’une question de rhétorique – une question de mots – considérez ceci.

Le 4 novembre, j’écrivis un article intitulé «Réveillez-vous avant que le sang juif ne soit versé dans votre pays.»

Un jour plus tard, le jour même de la publication de l’article, Paul Kessler, un manifestant juif pro-israélien de 69 ans, fut frappé à la tête par un manifestant pro-palestinien. Il décéda des suites de ses blessures. Il n’aura fallu qu’un jour !

C’est pourquoi je ne resterai pas silencieux à un moment aussi critique de l’histoire juive, sans parler de l’histoire mondiale.

Qu’en est-il de vous ?

Allez-vous utiliser des poids et des mesures égaux, ou suivre l’esprit du temps ?

Il est tout à fait possible de critiquer Israël sur de nombreux points, et les vrais amis d’Israël sont plus qu’heureux de partager leurs commentaires, leurs critiques et leurs inquiétudes.

Mais cette diabolisation inégale, injuste et contraire à l’éthique d’Israël et du peuple juif doit être dénoncée et combattue, car la nation est confrontée à une nouvelle menace existentielle. Et avec elle, l’Occident !

Alors, de quel côté êtes-vous ?

© Rosaly pour Israël24 7.org

Sources:

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