Une unité de collecte spéciale de l’Amn a reçu pour mission de cartographier numériquement tous les bâtiments de la bande de Gaza – avant et pendant la guerre.
- Il y avait 453 188 bâtiments dans la bande de Gaza le soir du 7 octobre.
- La moitié étaient des bâtiments résidentiels, les entreprises et le gouvernement,
- Le reste étaient des bâtiments temporaires tels que des hangars, des cabanes, etc.
- Au cours des huit premiers mois de combat, les FDI ont détruit 16 % des structures permanentes et 36 % des structures temporaires.
- En chiffres absolus, 35 952 bâtiments permanents ont détruits, et 84 276 constructions temporaires.
- Ces chiffres des FDI incluent les centaines de bâtiments qui ont été détruits pour créer la nouvelle zone tampon à la frontière.
- Définition de la destruction d’un bâtiment : aplatir ou mettre le bâtiment hors d’usage, par exemple en détruisant les murs ou les escaliers. Un seul obus dans une pièce ou une explosion sur le toit ne détruit pas un bâtiment et n’est donc pas compté.
- Surprise (ironique) les données contredisent fortement les publications de l’ONU et des médias étrangers, qui accusent les FDI d’avoir détruit 50 à 70 % de la bande de Gaza.
- Explication de l’écart selon les FDI : les parties étrangères collectent des données à partir de satellites – Tsahal collecte et analyse les données à l’aide de drones avancés, sous tous les angles et en 3D.
- Les résultats, sous la forme d’une immense carte numérique actualisée, sont stockés dans un dossier de preuves qui sera présenté aux tribunaux internationaux et aux commissions d’enquête étrangères qui seront créées.
- Selon les commandants, une maison sur deux était utilisée par des terroristes, à tel point que les soldats ont dû détruire ces maisons pour ne pas devenir des cibles de tir au pigeon.
- Les FDI ont acheté des mines et des explosifs à toutes sortes de pays « non occidentaux » dans le monde entier.
Conclusion
- La plupart des Arabes peuvent rentrer chez eux.
- Ceux qui étaient dans la bande de Gaza ont vu de près beaucoup de destructions, mais du toit d’un immeuble ou du haut d’une colline, il est facile de voir, même récemment, que la plupart des bâtiments sont encore debout.