L’Assemblée générale a voté l’organisation d’un événement pour commémorer le 75e anniversaire de la Nakba. L’événement aura lieu le jour du 75e anniversaire de l’indépendance d’Israël. Tandis que l’indépendance d’Israël ne semble pas avoir été décidé d’être souhaitée.
90 pays ont voté en faveur de la décision, 30 contre. Les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, le Canada, la Suisse, la République tchèque et l’Australie, entre autres, se sont opposés à la proposition. Pas la France, probablement le pays occidental le plus antisémite dans ses actions (l’inverse de ses déclarations). 47 pays se sont abstenus.
L’ambassadeur israélien auprès de l’ONU, Gilad Erdan, a tweeté qu' »en prenant une décision aussi extrême et sans fondement, l’ONU ne fait que contribuer à perpétuer le conflit israélo-palestinien. » Il a raison, et tort à la fois. L’ONU contribue surtout à la perpétuation de l’antisémitisme au travers de la réécriture de l’histoire qui efface celle des juifs, comme l’UNESCO.
Le mois dernier, un comité unique au monde des Nations unies, créé sur mesure pour Israël seulement, sur la « décolonisation » a approuvé une proposition arabe demandant à la Cour internationale de justice de La Haye de formuler un avis juridique sur « la présence continue d’Israël dans les territoires de la rive gauche ». la Cour déterminera si la présence d’Israël en Judée et Samarie peut être définie comme une occupation et un génocide. Ce sujet a pourtant déjà été traité, et répondu par la Cour d’appel de Versailles en 2013. La réponse est non.
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