Elections israéliennes : tout ce que vous avez toujours voulu savoir sans jamais oser le demander

Elections

Au cours de l’été, primaires dans trois partis

Likoud (centre droit), Avoda (socialiste) et Meretz (extrême gauche) qui ne conduit pas une élection transparente.

Le 15 septembre, les listes devraient être formées et soumises à la commission électorale.

Au cours du mois de juillet, les députés représentant au moins un tiers de la faction peuvent se manifester et aller aux urnes en tant que liste séparée. Ils recevront un financement pour cela. Cette règle n’est valable que pendant un mois après la dissolution de la Knesset.

Les élections auront lieu le 1er novembre et la nouvelle Knesset prêtera serment le 15 novembre

Voici les partis pour lesquels les Israéliens pourront voter :

Augmentation de 12,5% des fonds pour les campagnes électorales des partis

En Israël, les campagnes sont principalement financées par des fonds publics, et les dons privés sont très plafonnés.

Le financement est alloué à chaque parti en fonction du nombre de ses membres à la Knesset.

La commission publique sur le financement des partis a approuvé mercredi une augmentation de 12,5 % du financement public des campagnes électorales des partis politiques israéliens.

Le comité a autorisé une augmentation de 402 000 à 460 000 dollars par unité de financement.

Cette augmentation coûtera au public 6 millions de dollars supplémentaires, portant le coût total du financement des partis à environ 58 millions de dollars pour les prochaines élections.

Les élections devraient coûter près de 690 millions de dollars, selon le ministre des Finances Avigdor Liberman. Ce montant comprend à la fois les coûts directs et les pertes économiques indirectes puisque le jour des élections est un jour férié, une anomalie inexplicable, puisque se déplacer pour aller voter prend très peu de temps.

Breaking the Silence : « Le gouvernement actuel a ouvert une brèche pour que nous puissions respirer »

« Le gouvernement actuel a ouvert une fenêtre étroite pour que des organisations comme Breaking the Silence puissent respirer, travailler, penser », a écrit le PDG de Breaking the Silence, une organisation extrémiste qui véhicule la haine la plus extrême contre Israël dans le monde, témoignant en permanence contre les Israéliens afin de faire condamner le pays devant la Cour pénale internationale, produisant des rapports à charge, mensongers et partial, contre Israël.

© Jean-Patrick Grumberg pour Israël 24 7.org

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