Comment le New York Times s’y prend pour cracher sur Israël

© Paul Zerah

Initialement publié le 2 novembre 2021 @ 11h50

Un journaliste et un photographe du New York Times montent dans une voiture. Ils traversent l’un des pays les plus heureux du monde et ne trouvent que colère, aliénation et regret.

Le Rapport sur le bonheur dans le monde 2021 (1) a constaté que les Israéliens sont parmi les peuples les plus heureux au monde, et a classé leur pays au 12e rang des pays les plus heureux sur 149 au cours des trois dernières années. Les Israéliens sont dans le peloton de tête du classement depuis plus de 10 ans, bien qu’entourés de terroristes qui régulièrement tirent des missiles sur eux.

Mais pour les gauchistes du NYT, leur vision distordue de “ce que signifie être Israélien aujourd’hui” est : “tensions”, “inégalités”, “divisions”, “troubles”, “fureur”, “ambivalence”, “illégitimité”, “aliénation”, “injustice”, “discrimination”, “partialité”, “abus”, malheur, “taudis” et villes “minables”, “fatiguées”, et “crasseuses”.

Comme d’habitude, le NYT se livre à une exploration microscopique à la frange qui passe à côté du tableau d’ensemble et désinforme ses lecteurs.

Il y a peu ou pas de mention, au mépris total du Rapport mondial sur le bonheur pourtant bien connu parmi les journalistes, que quiconque en Israël vit sa meilleure vie possible.

Sarcastique, le journaliste Adam Levick réagit à l’article trompeur en ironisant :

En septembre, la situation était si mauvaise en Israël que mes enfants ont été contraints de vivre sous une tente (il fait référence à la fête de Soukhot, « Fête des Cabanes », « des Huttes », « des Tentes » ou « des Tabernacles », où l’on prend ses repas dans la cabane installée à cette fin)

(1) https://worldhappiness.report/

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