Des responsables israéliens de la sécurité ont prouvé que le Hamas mène une campagne délibérée visant à présenter un faux récit de famine généralisée dans la bande de Gaza, pour nuire à l’image internationale d’Israël et atteindre des objectifs politiques, après avoir constaté que les médias internationaux leur font une confiance aveugle et ne vérifient pas la réalité de leurs déclarations.
Selon une évaluation récente, un écart important a été constaté entre le nombre de décès liés à la malnutrition signalés par le ministère de la Santé du Hamas et les cas réellement confirmés avec informations identifiables.
Jusqu’en juin 2025, 66 décès de ce type avaient été signalés pendant le conflit. Cependant, en juillet seulement, plus de 133 cas ont été annoncés — la plupart sans détails, contrairement aux pratiques antérieures.
Par exemple, le Hamas a signalé 18 décès liés à la malnutrition le 19 juillet, puis 15 de plus le 22 juillet. Une analyse indépendante des réseaux de communication et des réseaux sociaux n’a trouvé que des cas isolés et vérifiables.
Un examen approfondi des cas nommés a suggéré que nombre d’individus souffraient de graves affections préexistantes sans rapport avec l’état nutritionnel. Certains avaient même reçu des soins médicaux en Israël avant le conflit actuel.
Parmi eux, Abdullah Al‑Hani Muhammad Abu Zarqa, un enfant de 4 ans atteint d’une maladie génétique rare entraînant une carence vitaminique et des problèmes osseux — affection touchant plusieurs membres de sa famille. Il avait reçu des soins à Jérusalem dans les mois précédant la guerre.
Autre cas cité: Karem Khaled Mustafa al‑Jamal, 27 ans, dont le Hamas a attribué la mort à la malnutrition; il souffrait apparemment d’une dégénérescence musculaire et d’une paralysie partielle l’empêchant d’avaler — une affection de longue date non liée au manque de nourriture.
Israël conclut qu’il n’existe aucune preuve d’une malnutrition généralisée à Gaza et accuse le Hamas d’utiliser des cas individuels pour soutenir un récit trompeur, mais les médias, comme des arbitres qui soutiennent en secret l’une des deux équipes, ne veulent pas entendre parler des preuves présentées par Israël.
« L’évaluation menée avec des professionnels médicaux n’a trouvé aucun signe d’une crise large de malnutrition à Gaza, » indique le communiqué. « Le Hamas exploite cyniquement des cas tragiques et des images dans le cadre d’une campagne de désinformation visant à créer une pression internationale et à ternir la réputation d’Israël. »
Le communiqué ajoute que l’armée israélienne, via le Coordonnateur des activités gouvernementales dans les territoires (COGAT), reste engagée à améliorer les efforts humanitaires à Gaza en coordination avec des partenaires internationaux, tout en rejetant les allégations de famine généralisée dans la région.
Par comparaison, le problème de malnutrition touche en réalité toute la région musulmane.
Morts de malnutrition
| Pays | Estimation du nombre annuel de décès (2000-2020) | Estimation du nombre total de décès (2000-2020) | Notes |
|---|---|---|---|
| Gaza | <100 (spéculatif) | <2,000 (spéculatif) | Données insuffisantes ; la malnutrition chronique a probablement contribué indirectement à la mortalité. |
| Égypte | 900–1,800 | 18,000–36,000 | D’après les estimations du GHE de l’OMS ; faible taux de mortalité grâce à un meilleur accès à l’alimentation. |
| Jordanie | <70 | <1,400 | Un nombre minimal de décès grâce à une sécurité alimentaire et à des systèmes de santé solides. |
constat rien que des pays régis par des mulsulmant