C’est dur de se faire rouler et de n’en prendre conscience qu’après plus de soixante-dix ans, et une hécatombe ahurissante.
« Finalement le bouffon a sauté hors de la bouteille… et la vérité a vu le jour devant un État israélien hébété, abasourdi et interdit qui réalise trop tard qu’il a avalé des couleuvres pendant toute son existence. Mais il ne s’agit pas seulement des juifs d’Israël, mais aussi du monde occidental qui n’en soupçonnait rien, à moins qu’il ne s’agisse là que de la poursuite d’un jeu macabre pour faire disparaitre les juifs de la face du globe.
En fait, que s’est-il réellement passé ? Un lopin de terre abandonné aux mains des opportunistes de tous bords… L’Égypte le zieutait, la Syrie râlait en silence, mais permettait à ses soi-disant bergers de promener leurs moutons en Galilée, pour infiltrer les fermes juives et les dérober… La Jordanie, l’avait déjà envahi et avait même annexé Jérusalem et la Judée et Samarie, qu’elle renomma Cisjordanie. Les 77% de la Palestine mandataire reçu cadeau des anglais, étaient apparemment insuffisants au monarque natif de l’Arabie Saoudite. Rien de surprenant que l’actuel Prince d’Arabie saoudite, insiste à recevoir le restant sous la forme d’un État palestinien.
Ne dit-on pas que le ridicule ne tue pas.
En fin de compte ces fédayins peuplèrent cette terre abandonnée, qui recelait encore et malgré tout, les vestiges de son passé juif. Beaucoup d’entre ces nomades/Bédouins arabes se sont attelés à voler des amphores, d’anciennes pièces de monnaie qui révélaient la présence juive bien avant le Christ et l’Islam et venaient les vendre aux visiteurs chrétiens ou juifs qui s’en intéressaient.
D’autres qui avaient découvert des stèles s’étaient même permis de les démolir – La stèle de Mesha est une stèle de basalte découverte en 1868 et sur laquelle est gravée une inscription remontant à l’époque du roi moabite Mesha (IX siècle av. J.-C.)
Elle est découverte en août 1868 par le révérend Frederick Augustus Klein, missionnaire allemand à Jérusalem, sur le site de Dibon (Dhiban en Jordanie ! Qui peut donc contester que l’actuelle Jordanie ne fasse pas partie du Grand Israël ?). Le consul allemand Julius Petermann, le capitaine britannique Charles Warren et le chancelier français Charles Clermont-Ganneau entrent en compétition pour acquérir la stèle. Constatant l’intérêt des Européens pour la stèle, les Bédouins la brisèrent en morceaux, pensant qu’elle pouvait contenir un trésor ou qu’elle recelait des éléments importants reliés à la présence juive sur ces territoires. Charles Clermont-Ganneau avait déjà réalisé un estampage de la majorité du texte, à l’exception des dernières lignes. Il put par la suite reconstituer la pierre après en avoir récupéré la plupart des fragments.
La stèle décrit :
- Comment le royaume de Moab a été conquis par Omri, roi d’Israël, en conséquence de la colère du Dieu Kermoch. Les victoires de Mesha sur le fils d’Omri (dont le nom n’est pas mentionné) et sur les hommes de la tribu de Gad à Ataroth, Nebo et Jehaz.
Si l’on excepte quelques légères variations, par exemple -in pour -im dans les pluriels, le langage moabite de l’inscription est identique à la forme primitive de l’hébreu. L’alphabet moabite est du type dit improprement « phénicien », forme ancienne de l’alphabet sémitique. La forme des lettres utilisées apporte des informations importantes et très intéressantes à propos de la formation de l’alphabet, ainsi que, incidemment, des arts pratiqués pendant cette période sur la terre de Moab. (Texte repris de l’œuvre « Le canular de l’inexistence du peuple juif, en deux langues Français-Hébreu chez l’auteur)
La stèle de Mesha est un précieux document qui éclaire la genèse du texte biblique, dans la mesure où, outre la communauté linguistique, il existe un parallélisme frappant entre la conception de la royauté et de la divinité chez les Moabites et les conceptions que l’on retrouve dans l’Ancien Testament. Ainsi, la soumission de Moab à Israël est expliquée par la colère de Kémosh, dieu de Moab, contre son peuple. C’est Kémosh (nom du Dieu moabite que l’on connaissait par la Bible) qui inspire directement Mesha (comme YHWH, selon la Bible, inspire les prophètes). Les Moabites pratiquent également l’anathème (massacre de populations vaincues consacrées à Kémosh). On y retrouve de nombreux termes bibliques en particulier YHWH, le nom propre du Dieu d’Israël, mais aussi le nom du roi Omri fondateur de Samarie et le nom du célèbre roi David.
Et voilà que brusquement, après la victoire de la guerre des Six jours, ces bédouins, arabes égyptiens, syriens et autres deviennent des palestiniens. How convenient ? – tellement pratique.
Les égyptiens renient la citoyenneté de leurs ressortissants, tout comme ceux de la Syrie, et de tous les autres pays arabes, venus gagner leur pain dans ce désert appelé Palestine.
Aujourd’hui, ce secret n’est plus un. Ces arabes étaient des arabes des pays arabes voisins… Pour mieux clouer les israéliens et grâce à leur méprise et bêtise à la fois, ce sont les israéliens eux-mêmes qui ont créé les palestiniens. Quelle aubaine, lorsque l’héritier nie son héritage et l’offre en échange d’un morceau de papier sans valeur appelé les « Accords d’Oslo ».
Les juifs d’Israël ont tous les droits légitimes de réclamer de l’Égypte, de la Syrie et de la Jordanie de rapatrier leurs ressortissants. La Jordanie, n’est rien d’autre que les trois quarts de la Palestine mandataire et a pour devoir de rapatrier ces arabes qui se prétendent palestiniens. Personne n’en veut – ils sont un danger pour leur sécurité. Qu’ils soient un danger pour Israël, importe peu. ASSEZ !
Le président Donald Trump a toutes les raisons de leur demander d’être pour une fois, assez honnêtes envers leurs propres ressortissants.
La bande de Gaza a été avant la guerre des Six jours égyptienne. Elle devint palestinienne pour mieux saper les assises d’Israël.
Combien faudrait-il encore sacrifier de vies pour enfin récupérer des terres qui appartiennent de droit aux Juifs ?
Dans le fond, toutes les terres passeront toujours d’une main à l’autre, par la force, par la ruse, comme c’est le cas ici, ou alors par une invasion tacite et silencieuse qui se perpétue de nos jours dans toutes les démocraties. Est-ce que les européens et les américains se mettront des gants pour les évacuer ?
Thérèse Zrihen-Dvir