Les travaux de séduction entrepris depuis de longues années n’ont servi qu’à aggraver la situation, et puisque les guerres et la terreur n’ont pas produit les résultats escomptés sur Israël, on passe à la séduction. Le monde entier y a mis la patte, d’une manière ou d’une autre, depuis 1948.
On n’impose pas un État juif au monde arabe surtout dans une région totalement musulmane hormis quelques résidus des communautés chrétiennes que les arabo-musulmans s’acharnent à faire disparaître.
Et surtout, que personne ne se permette de pointer le doigt sur l’épuration ethnique en pleine évolution dans tous les pays musulmans. Les médias, les journaleux, les chefs d’État, tous se sont mouillés jusqu’au cou dans la connivence, tacite certes, mais visible à l’œil nu. Visible à ces juifs trop vigilants pour qu’ils ne la distinguent pas dans le jeu fourbe des assommants redresseurs de torts.
Le comble est qu’il existe des « juifs de nom seulement », intégrés, émancipés qui agrémentent cette sauce puante et criminelle par leur participation active et officielle. Nous comptons des Soros, des Sand, des Neturei Karta, des prétendus amoureux de la démocratie, du progressisme, de la justice bien qu’ils sachent que justice n’est jamais au rendez-vous dans ces conciliabules qui puent la traîtrise à des kilomètres.
Cerise sur le gâteau ; et puisque la honte s’est complètement retirée de l’agenda des nations, c’est un pro-Hamas, antisémite déclaré qui reçoit pour prix de consolation momentanée, la mairie de New-York, en attente de décrocher la chaire de président à la Maison-Blanche bien qu’il ne possède pas tous les atouts nécessaires pour atteindre son objectif. Ce n’est qu’un début, bientôt, nous assisterons à ce jeu de substitution dans toutes les positions clefs de toutes les démocraties auxquelles une tranche d’israéliens aspire à faire partie.
New-York est désormais fermée aux Israéliens, Paris en tête, le Canada suit la cadence. Les juifs d’Australie font leurs valises, ceux de France aussi, bien qu’il y ait encore quelques hésitants, tous ces fuyards n’ont infortunément qu’une seule direction : Le minuscule État juif d’Israël, qui lui non plus n’est pas assez rassurant et se confronte en sus, à la terreur et aux guerres, à des scissions menaçantes tant de la tranche laïque que de celle orthodoxe, qui refuse le service militaire – et si ce n’est pas assez, il y a le « Deep State » qui a eu suffisamment de temps pour gangrener les assises de l’État juif, dès sa reconnaissance.
Des amis sincères et fidèles d’Israël – ils n’existent pas. Cessons de nous leurrer.
Après avoir bien rempli ses devoirs envers sa sécurité et celle, entre parenthèses, du monde occidental, en éliminant le Hamas, le Hezbollah, les Houthis du Yémen et finalement le nucléaire iranien, Israël, croyait à un occident plus reconnaissant, plus amical. Vous plaisantez, n’est-ce pas ?
Au lendemain de ces victoires, la France lançait l’appel à la reconnaissance d’un État palestinien, suivie par toutes les démocraties hormis les USA.
Miracle pensaient les israéliens. Enfin un ami en qui nous pouvons faire confiance.
Patience, ne vous précipitez pas pour crier Hurrah. Trump a sa botte secrète – une petite manœuvre pour ramener cet os dur qu’est Israël, à la sagesse.
Beaucoup de parlotte, beaucoup d’embrassades, beaucoup de poignées de mains, de sourires, mais derrière l’écran, Trump est toujours fidèle aux ennemis jurés d’Israël dont le Qatar – plus fourbe que lui, tu meures, la Turquie – l’Égypte et le Hamas, avec qui il négocie le futur de la bande de Gaza.
Pauvre Israël, ton travail de nettoyage n’a servi à rien. Trump veut échanger les arabo-gazaouïs avec d’autres arabo-musulmans, plus perfides et plus sournois que tous les gazaouïs réunis.
Deux ans de guerre, plus de 2000 soldats morts, des milliers de blessés et d’handicapés pour se retrouver dans la même situation, sinon pire qu’avant le 7 octobre 2023.
Allons, cessons de tourner autour du pot. Nous n’aurons jamais des amis sincères et loyaux tant que l’argent de l’or noir circule à flot et détourne tous ceux qui conservent un tant soit peu de décence, vers l’oubli et le dénigrement de celui qui vient à peine de leur sauver la peau.
Israël, n’oublie jamais que tu ne peux croire et faire confiance qu’à ton Dieu, le même qui a désigné la « Terre Promise » à ton ancêtre Abraham. Bats-toi pour la conserver et ne te fie jamais à personne, hormis à ta foi et à ton bras.
© Thérèse Zrihen-Dvir
bravo des milliers de fois, chère Thérèse ! —
Merci de nous remettre les idées en place, bravo quelle réponse cinglante pour ce monde qui, quoi qu’il en dise , n’aime pas l’état des Juifs .
Il est écrit qu’à la fin des Temps , toutes les Nations sur Terre se ligueront contre ISRAEL pour enfin l’éliminer …..
Je pensais que ce temps n’est pas encore arrivé , nous avons encore , de façon sûre un » BON AMI » , les USA …. ET .. quand j’ai entendu ce qui se passe à NEW YORK , il a fallu que je m’allonge , j’avais la tête qui tourne .. et j’ai du mal à la remetre à l’endroit !!!
Effectivement c’est la triste vérité que Thérèse nous dit dans son post… Mais il y a heureusement des non Juif qui aime Israël et qui se confient dans le Dieu d’Abraham et la Torah révélé à Moïse pour Son peuple Israël. Je fais parti de ces gens qui aime Israël et qui prie pour Israël. Ce matin je lisais le Prophète Zacharie au chapitre 8… Le Seigneur des armées célestes encourage son peuple qu’il prend soin de lui et va le sauver de ses ennemis et le ramener à Jérusalem… A la fin du chapitre, il est dit que des peuples de différentes nations et langues, s’accrocheront à un Juif pour lui dire – Nous voudrions allez avec vous, car nous avons appris que Dieu est avec vous -. Dieu est fidèle et il accomplira ce qu’il a déclaré à Israël.
Analyse tristement réaliste sur les «amis fidèles et loyaux» d’Israël, ces chefs d’Etats occidentaux, qui pleurent sur la Shoah, mais pactisent avec les pires ennemis d’Israël, les reçoivent en grande pompe, et serrent leurs mains rouges sang. Je pense ici à l’héritier saoudien ou plus récemment au nouveau président djihadiste Syrien entre autres, devenus des amis fréquentables, des «good men». L’attrait de l’or noir a le pouvoir magique de transformer des ennemis sanguinaires de l’Occident et d’Israël en nouveaux amis, dignes de tous les égards.
Donald Trump est je crois un ami d’Israël, loyal à sa façon. Toutefois, il est aussi un homme d’affaires et poursuit aussi ses propres objectifs, quitte à changer d’avis sur des personnages autrefois considérés comme ennemis. Le «bad guy» d’hier devient ainsi le «good guy» d’aujourd’hui.
Quant aux dirigeants occidentaux, ils sont devenus les otages de leurs envahisseurs arabo-musulmans. Les craintes d’émeutes de la part des adorateurs d’Allah les tétanisent et rares sont les courageux qui soutiennent ouvertement Israël et son peuple, tout en s’indignant hypocritement contre la montée de l’antisémitisme dans leurs pays.
L’ingratitude des nations occidentales à l’égard d’Israël, qui se bat aussi pour le monde libre, est désolante et indigne. Et cela attriste les amis d’Israël, des citoyens ordinaires, admiratifs de ce petit pays et de son peuple, dont le courage et la résilience suscitent leur admiration et leur respect.
Vous avez raison: le Seul en qui Israël doit faire confiance c’est l’Eternel, le D.ieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. Israël doit revenir vers D.ieu, car Lui seul le protégera.
Les Égyptiens, les Babyloniens, les Perses se sont élevés, ont rempli la planète avec leur retentissement et leur splendeur, puis se sont évanouis dans un rêve. Les Grecs et les Romains ont suivi, et ont fait beaucoup de bruit, puis ils ont disparu ; d’autres peuples ont vu le jour et ont tenu leur flambeau très haut pour un temps, mais ce dernier s’est éteint, et ils sont maintenant assis dans la pénombre, ou ont disparu. Le Juif les a tous vus, tous battus, et maintenant, il est ce qu’il a toujours été, ne présentant aucune décadence, aucune infirmité de l’âge, aucun affaiblissement de ses composantes, aucun ralentissement de ses énergies, aucun ternissement de son esprit alerte et combatif. Toutes les choses sont mortelles, sauf le Juif ; toutes les autres forces passent, mais lui reste. Quel est donc le secret de son immortalité ?
Mark Twain