Mardi matin, Avigdor Lieberman, président du parti Israël Beiteinu, a demandé à Lapid et Gantz d’annuler l’envoi de leurs représentants à la résidence présidentielle pour des discussions sur la réforme judiciaire.
« Il est impossible de négocier lorsque Netanyahou et ses partenaires poursuivent le processus législatif », a-t-il tweeté. « J’appelle les partis d’opposition à retirer les commandes qui ont été envoyées à la maison du président jusqu’à ce que la loi sur la commission de nomination des juges soit retirée de la table de la Knesset. Ce n’est pas ainsi que les négociations sont menées. »
L’ancien Premier ministre Ehud Barak a appelé Gantz et Lapid à ne pas parler à Netanyahou tant que la loi sur la réforme ne sera pas retirée de l’ordre du jour.
« Netanyahou ne fait pas cela pour éviter les divisions, il est à l’origine de toutes ces divisions », a-t-il déclaré à 103FM. « Il veut sauver son gouvernement en ruine d’une protestation qui met en lumière sa faiblesse. Cette discussion n’a pas lieu d’être.
Cet ancien Premier ministre est une erreur de casting. Il n’a pas laissé un souvenir impérissable sur la politique israélienne. En fait, il a laissé un très mauvais souvenir : le désastre du conflit avec le Hezbollah, c’est lui, car sa décision de retrait du Sud-Liban en 2000 a créé le vide qui a permis l’installation du Hezbollah à la frontière.
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