Dans le village de Yata, au cœur de Masafer Yatta, un ensemble de 19 villages arabes dans le district d’Hébron, les forces de sécurité de l’AP ont arrêté ce qu’ils ont appelé une « bande de traîtres palestiniens » qui vendaient des terres aux Juifs, la vente la plus récente étant celle de 60 acres près de Beit Hagai dans les collines du sud d’Hébron.
L’Autorité palestinienne a émis des lois d’apartheid dans l’indifférence mondiale
Il a interdit la vente de terres appartenant à des Arabes à « toute personne ou société israélienne vivant en Israël ou en son nom », ce qui signifie « des Juifs ».
- En septembre 2010, un tribunal de l’Autorité palestinienne a décidé qu’un résident de l’Autorité qui avait vendu des terres à des Juifs devait être condamné à la peine de mort.
- Les exécutions dans l’AP nécessitent l’approbation de son président, et Mahmoud Abbas n’a pas approuvé d’exécutions depuis son arrivée au pouvoir en janvier 2005.
- Le 21 octobre 2014, Abbas a signé un ordre stipulant qu’un Arabe de l’AP qui vendrait ses terres à des Israéliens recevrait la prison à vie avec travaux forcés.
- Cependant, le personnel de sécurité de l’Autorité palestinienne exécute les vendeurs de terres de manière officieuse, en les jetant du haut des toits, en les laissant dans une cellule de prison à côté de meurtriers de carrière, et même en les abattant dans la rue.
Ils s’emploient également à empêcher systématiquement la vente de terres aux Juifs de Jérusalem-Est, notamment en enlevant et en arrêtant les vendeurs.
Et bien entendu, ce sont les juifs qui sont accusés – sans preuve – de pratiquer l’apartheid par ceux qui ferment les yeux sur l’apartheid contre les juifs. L’histoire du peuple le plus persécuté au monde se répète indéfiniment.
© Jean-Patrick Grumberg pour Israël 24 7.org
Source : https://www.jewishpress.com
Lorsque les Juifs ont commencé leur aliyah vers la fin du 19e siècle, il leur a fallu racheter par petits morceaux, à des propriétaires absents, leur terre ancestrale dévastée par 17 siècles d’occupation arabe et turque. Et puis ils ont versé leur sang pour récupérer le reste de ce qui constitue aujourd’ui Eretz Israel.
Et aujourd’hui il leur faut toujours non seulement racheter des morceaux de cette Judée à laquelle ils ont donné leur nom, mais encore se battre devant les tribunaux tandis que l’AP s’en prend aux Arabes qui ont bénéficié de ces ventes.
Brutti tempi!