Cet article sera mis à jour avec les derniers développements.
Rappel des faits :
La procureure militaire en chef Yifat Tomer-Yerushalmi et des subalternes ont illégalement organisé la fuite d’une vidéo montrant des soldats de la Force 100 qui gardaient les prisonniers de la prison Sdé Teiman, maltraitant des terroristes du 7 octobre.
Le parquet militaire, comprenant un assistant juridique ayant signé une fausse déclaration sous serment soumise à la Haute Cour de justice, un procureur en charge de l’affaire et un proche collaborateur de Tomer-Yerushalmi, est impliqué dans la fuite de la vidéo.
Un journaliste qui milite à gauche a fait un montage de la vidéo pour dramatiser la scène, et la vidéo éditée a déclenché des condamnations internationales. La conseillère juridique du gouvernement, Gala Baharav Miara est à son tour soupçonnée d’avoir enterré l’enquête destinée à découvrir qui a laissé fuiter la vidéo.
Mais l’on doit à la nomination du nouveau chef du Shin Bet, David Zini, que la gauche a tout fait pour faire annuler – en vain – d’avoir immédiatement rouvert le dossier après sa nomination, ce qui a permis d’exposer la procureure militaire en chef, qui a été limogée sur le champ.
Maintenant, un nouvel affrontement est en cours, car la Haute cour et des organisations de gauche font tout pour empêcher le ministre de la Justice de nommer un enquêteur indépendant. Ils réclament la nomination d’une personne du sérail, ou des juges que la droite accuse d’avoir des conflits d’intérêts dans le dossier, et ce afin d’étouffer l’affaire, de protéger de découvrir les noms de hauts-responsables possiblement impliqués, et d’empêcher le public de connaître le contenu des échanges entre les complices de l’affaire : c’est l’Etat profond en pleine opération de nettoyage du dossier.
Vous pouvez lire les détails complets de l’affaire – publiés ici.

« L’ancienne procureure militaire en chef Yifat Tomer‑Yerushalmi sera libérée et assignée à résidence sous des conditions restrictives. »
Pourquoi ne pas la mettre dans la même prison où elle a fait incarcérer des soldats innocents, ce ne serait que justice.