Le Premier ministre Netanyahou a cédé à la pression internationale et retiré de l’ordre du jour la loi sur les ONG à but non lucratif qui militent en Israël contre Israël. La Chaîne 13 israélienne publie une liste de subventions accordées par l’Union européenne au cours des derniers mois à ces organisations hostiles de gauche.
Ces derniers jours, on parle beaucoup de l’implication étrangère négative et de la manière dont le gouvernement devrait, s’il le voulait éradiquer ce cancer qui ronge depuis trop longtemps (cela fait des années que le gouvernement tente, en vain, de contrer leur influence négative).
Voici une liste de donations, datant de cette année, qui ont été approuvées par l’Union européenne et transférées à des organisations de la société civile, toutes des organisations clairement d’extrême gauche, et qui militent clairement contre Israël.
- La première s’intitule « Protection des droits de l’homme à l’ère numérique » et le montant approuvé est de 400 000 euros, destinés à l’Association des droits civils et à « Briser le silence ».
L’explication du projet, telle qu’elle figure dans les documents officiels de l’Union européenne :
« Le projet vise à protéger les droits et libertés fondamentaux violés par les fonctionnaires du gouvernement israélien dans l’utilisation de la surveillance numérique ».
- En d’autres termes, l’Union européenne paie des organisations civiles pour surveiller les violations commises par l’État d’Israël.
- La deuxième subvention – « normalisation des droits de l’homme et de la démocratie », également d’un montant de 400 000 euros – va à l’Association pour les droits civils en Israël.
Cette subvention est destinée à ce que l’Union européenne appelle : « désir d’améliorer les perceptions du public concernant les droits de l’homme et la démocratie en Israël ».
- Une autre subvention versée cette année : la « sensibilisation aux droits de l’homme par la lutte contre la violence policière à l’encontre des groupes marginalisés en Israël » – 230 000 euros à « Zolt », dirigée par l’ancienne présidente du Meretz Zehava Galon, et au « Comité public contre la torture en Israël ».
- Une autre subvention a été approuvée pour « protéger les droits des travailleurs palestiniens » : 400 000 euros encore alloués pour saper Israël.
Parmi les organisations qui mettent en œuvre ce projet, on trouve le Centre pour le développement des initiatives de paix (qui ne milite pas du tout pour la paix mais pour la haine), qui promeut également le Réseau de refus – un réseau qui aide les personnes qui refusent de s’enrôler dans l’armée.
L’Union européenne a déclaré, à propos du projet de loi pour l’instant enterré :
« L’Union européenne est fermement résolue à protéger la liberté d’expression et la liberté d’association. La liberté d’expression s’applique également aux informations ou aux idées qui offensent, choquent ou dérangent l’État ou une partie de la population. L’Union européenne continuera à défendre le droit international et à soutenir les organisations de la société civile qui protègent le droit international et promeuvent les droits de l’homme et les valeurs démocratiques. »
En langage claire, cela veut dire : « L’Union européenne est fermement résolue à continuer à saper les fondements d’Israël, et à défendre sa capacité de nuire à l’Etat juif en se servant de toutes les ficelles démocratiques qu’offre le pays ».
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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Source : https://13tv.co.il/item/news/politics/state-policy/european-funding-903540463/?pid=62&cid=903540463