Le terroriste responsable d’une fusillade dans l’Est de Jérusalem mardi a été appréhendé par les forces de sécurité israéliennes tôt mercredi matin. Il aura fallu moins de 24 heures aux forces de défense d’Israël : une prouesse.
Lors d’une opération conjointe menée avant l’aube par Tsahal, l’unité des forces spéciales Yamam de la police des frontières et le Shin Bet (Agence de sécurité israélienne) dans la ville de Sichem (Naplouse chez les Arabes et pour les médias qui veulent effacer les liens entre les juifs et leur terre), administrée par l’Autorité palestinienne en Samarie, le terroriste soupçonné d’avoir ouvert le feu sur une voiture israélienne dans le quartier Shimon Hatzaddik de la capitale a été arrêté.
Deux hassidim breslev ont été blessés lors de l’attaque. Ils sont tous deux heureusement dans un état stable et modéré : le terroriste a non seulement échoué à les tuer, mais il a en plus été capturé.
Après son arrestation, le terroriste a été transféré pour un interrogatoire, au cours duquel il a reconnu être l’auteur de l’attaque. Lors des perquisitions, un fusil de type Carlo a été retrouvé, qui est celui utilisé pour commettre l’attaque. Et il a 15 ans !
Il s’agit d’un adolescent du « camp de réfugiés » d’Askar, dans la banlieue de Sichem.
Profitons-on en pour évoquer cette question tabou : quand Israël aura-t-il le courage de déclarer à l’ONU qu’il n’existe pas de « réfugiés » – s’il y en a eu en 1948, il ne doit en rester qu’une poignée – et détruira ces « camps » pour les rebaptiser en villes et villages au sens administratif, et faire interdire l’expression « camp de réfugiés » ?
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