Le scandale a commencé lorsque deux couples, parents d’enfants du jardin d’enfants Gan Hitim à Herzliya, ont apporté aux enfants un cadeau de Nouvel An « innocent » – deux petits arbres de Noël artificiels avec des décorations. L’institutrice de l’école maternelle a alors installé les sapins de Noël, et décidé de saisir l’occasion pour enseigner aux enfants de 4 ans la diversité des traditions culturelles et des fêtes.
L’institutrice a été vertement attaquée par des parents et par Elad Tzadikov, membre du conseil municipal d’Herzliya, après avoir découvert la présence des sapins de Noël au jardin d’enfants pour le Nouvel An.
L’un des élèves a parlé de la leçon à ses parents, qui se sont immédiatement plaints au conseil municipal, après quoi Elad Tsadikov, membre du conseil municipal, s’est immédiatement rendu au jardin d’enfants pour une confrontation avec l’enseignant, et a découvert les sapins. Il lui a demandé si la leçon avait été approuvée par le département de l’Education de la ville, et après sa réponse négative, il a commencé à demander « si les festivals païens font partie du programme du ministère de l’Education ».
Après que l’institutrice ait répondu qu’il y avait une fille non-juive dans le jardin d’enfants, Tzadikov a déclaré que ce n’était pas une raison pour promouvoir des fêtes étrangères dans un jardin d’enfants juif.
Comme l’a déclaré M. Tzadikov dans une interview accordée au portail d’informations religieuses Ba-hadarei Haredim, il n’existe à ce jour aucune réglementation explicite au sein du ministère de l’Education qui stipulerait que le système éducatif en Israël est un système laïc. Dans ce cadre, a-t-il dit, les enfants israéliens doivent recevoir des informations portant exclusivement sur les fêtes juives, et non sur les rituels étrangers.
« J’espère vraiment que le nouveau ministre de l’Education Yoav Kish, le ministre du Patrimoine Amihai Eliyahu et le président du parti Noam Avi Maoz agiront sur ce sujet », a souligné M. Tzadikov.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
Source : https://news.israelinfo.co.il
il n’y a aucune raison de feter des fetes etrangeres dous pretxte qu’il y avait une etrangere dans la classe.
Nous en france que ce soit pendant la guerre ou apres jusqu’a notre alya nous et nos enfants sont alles dans les ecoles goys sans pour cela avoir les respect de nos fetes, sans meme des vacances ni a plus forte raison une explication de la morah aux eleves
Il n’y a pas de raison non plus pour que les Dreuziens non-Juifs présentent leurs vœux aux Dreuziens Juifs à l’occasion de Hannukah ou de Purim ; pas de raison pour que des Chrétiens partagent le dîner de Shabat auquel ils ont été conviés ; pas de raison non plus pour que des Catholiques accompagnent leurs amis Protestants ou Orthodoxes à certaines célébrations dans leurs temples et églises : ce sont simplement des manifestations de courtoisie et de respect les uns envers les autres de la part de communautés civilisées qui ont enfin ouvert les yeux après des siècles de violence imbécile.
Quant à votre « Il n’y a aucune raison de fêter des fêtes étrangères sous prétexte qu’il y avait une étrangère dans la classe », puis-je attirer votre attention sur Deutéronome 10:19: « Vous aimerez l’Etranger, car vous avez été étrangers dans le pays d’Egypte. » ? Et si la République française n’a pas montré la même générosité envers sa communauté juive, il y avait là une bonne occasion pour les parents et autorités d’Herzliyah de prouver la supériorité d’Israël en ce domaine. Dommage qu’ils aient raté le coche.