Certaines nouvelles passent au second plan, alors qu’elles sont d’une importance fondamentale sur l’avenir de l’Etat juif.
La réduction du budget d’aide de l’Union européenne à l’UNRWA fait partie de ces nouvelles fondamentales.
Pour 2022-24 il sera inférieur de 40 % à celui de la période triennale précédente, a annoncé l’UE la semaine dernière.
Le nouveau budget fournira 82 millions de dollars par an, contre une moyenne annuelle précédente de 135 millions de dollars, selon l’Institut de surveillance de la paix et de la tolérance culturelle dans l’éducation scolaire (IMPACT-se), un organisme à but non lucratif basé à Jérusalem qui surveille le matériel éducatif dans le monde entier pour détecter les contenus antisémites et extrémistes – et les livres d’école palestiniens sont un modèle du genre.
Une somme supplémentaire de 15 millions de dollars a été accordée par le biais de la facilité alimentaire et de résilience de l’UE pour 2022 afin d’aider à assurer la sécurité alimentaire suite à l’impact de la crise ukrainienne, selon le rapport.
En avril de l’année dernière, le Parlement européen a condamné l’UNRWA pour avoir enseigné et produit des documents antisémites, haineux et surtout qui incitaient les enfants, très malléables, à tuer les juifs, portant la marque de l’ONU, découverts par IMPACT-se, et a conditionné les fonds de l’UE à des changements dans le programme scolaire.
Le commissaire européen, qui a annoncé la réduction du financement, a déclaré l’année dernière, après la condamnation du Parlement, que l’Union européenne lutterait contre l’antisémitisme et devrait envisager de conditionner l’aide à l’UNRWA à la pleine adhésion aux normes de paix et de tolérance de l’UNESCO dans les manuels scolaires.
Il a réitéré ce sentiment en novembre 2021, lorsqu’il a déclaré, lors d’une conférence ministérielle internationale des donateurs de l’UNRWA, que « le respect total des normes de l’UNESCO dans le matériel éducatif » n’était « pas négociable » et que l’Union européenne continuerait à travailler avec l’UNRWA en vue d’une « responsabilité accrue, d’une transparence et d’une cohérence avec les principes des Nations unies ».
Saut que l’Autorité palestinienne a refusé de modifier le contenu haineux et antisémites des livres, expliquant, et il a raison, que cela fait partie intégrante de leur culture, et que l’islam ordonne aux musulmans pratiquants qui respectent la religion, de tuer chrétiens et juifs.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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Source : https://www.jewishpress.com