L’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens au Proche-Orient (UNRWA), l’agence des Nations Unies qui gère les écoles antisémites de l’Autorité palestinienne (AP) et des pays arabes autour d’Israël, et fait en sorte que les réfugiés ne soient jamais intégrés nulle part, a annoncé mardi aux États donateurs qu’elle avait placé six employés en congé administratif après qu’un rapport d’UN Watch ait révélé que 120 enseignants de l’UNRWA avaient publiquement appelé au meurtre de Juifs.
« Les enseignants qui appellent au meurtre de juifs doivent être interdits de classe à vie, alors que ces suspensions temporaires ne sont qu’une tape sur la main », a déclaré Hillel Neuer, directeur exécutif d’UN Watch, une organisation non gouvernementale indépendante basée à Genève.
« L’UNRWA essaie de prétendre que le problème a disparu, tout en signalant au personnel palestinien – et aux organisations terroristes comme le Jihad islamique qui ont fait pression sur l’UNRWA pour qu’il rejette le rapport d’UN Watch – qu’ils ne s’opposent pas vraiment à l’antisémitisme virulent de leurs enseignants, dont l’UNRWA et ses donateurs savent qu’il est omniprésent dans l’agence », a déclaré Neuer.
« Nous avons maintenant exposé plus de 120 enseignants de l’UNRWA et d’autres membres du personnel qui font l’éloge d’Hitler, glorifient le terrorisme et répandent l’antisémitisme.
Comme exposé dans le rapport,
- l’enseignante de l’UNRWA Hana’a Daoud en Jordanie a appelé les musulmans à « combattre les Juifs et à les tuer »,
- l’enseignante de l’UNRWA Elham Mansour au Liban a appelé à plusieurs reprises à « massacrer les sionistes », et
- l’enseignante en informatique de l’UNRWA Nihaya Awad en Samarie a glorifié les attaques à la roquette du Hamas contre les civils israéliens.
Malgré ces très légères suspensions, des groupes arabes palestiniens ont vivement réagi, qui ont présenté les appels ouverts à l’abattage des Juifs par les enseignants comme une « incitation à la fierté nationale palestinienne ».
Une coalition comprenant l’AP, le Hamas et le Jihad islamique, connue sous le nom de Comité conjoint pour les réfugiés palestiniens, a appelé l’UNRWA « à annuler immédiatement sa procédure de suspension de six employés, et à ne pas répondre aux pressions et aux diktats américano-israéliens ».
Dans une déclaration supplémentaire, Walid Al-Awad, chef du comité des réfugiés du Conseil national palestinien, a déclaré que la suspension par l’UNRWA de six enseignants était « inacceptable et devait être abandonnée immédiatement. »
Il a qualifié cette décision de « dangereuse » car elle « vise à extraire l’enseignant du cœur de la cause de son peuple. »
De même, le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), désigné comme organisation terroriste par les États-Unis, le Canada et l’Union européenne, a demandé l’annulation des suspensions des enseignants.
« Le fait que l’administration de l’UNRWA s’appuie sur un rapport publié par UN Watch pour prendre ces mesures confirme sa complicité et son identification avec l’état d’incitation pratiqué par l’occupation israélienne contre le peuple palestinien, en particulier les employés, simplement parce qu’ils ont un parti pris pour leur cause et qu’ils expriment leur adhésion aux principes et aux droits nationaux sur des pages de réseaux sociaux et des sites web, et participent à divers événements et activités nationales. Notre peuple ne permettra en aucun cas que cette décision soit appliquée, et il répondra avec toute sa force à l’acquiescement de l’administration aux pressions et incitations sionistes », a déclaré le FPLP.
L’UNRWA a refusé de faire preuve d’un minimum de transparence quant aux enseignants antisémites qu’elle a suspendus.
Des rapports similaires ont été publiés par Israël et d’autres organisations dans le passé, et presque sans exception, l’UNRWA n’a pas pris de mesures.
Le système éducatif de l’Autorité palestinienne a été accusé à plusieurs reprises d’éduquer ses élèves à la haine d’Israël et des Israéliens et de diffuser des messages de promotion du terrorisme.
Il a été constaté que le système utilise des moyens culturels tels que les pièces de théâtre scolaires, les événements sportifs et les camps d’été pour atteindre cet objectif.
Conformément à cette politique, l’AP a donné à au moins 28 écoles le nom de terroristes et à au moins trois écoles le nom de collaborateurs nazis.
Le ministère de l’Éducation de l’AP est directement et uniquement responsable de la nomination des écoles.
L’Union européenne reste indifférente. A cela, deux explications possibles : soit elle regarde ailleurs, fait mine d’ignorer et laisse faire… soit elle est parfaitement bien informée de la situation et elle s’en réjouit.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
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No comment si non trop d’horreur