Stephen M. Flatow rapporte que les documents soumis par l’AP à l’ONU reconnaissent que l’occupation israélienne a pris fin en 1994. Il publie son analyse dans le Jerusalem Post.
Extraits :
L’Autorité palestinienne a récemment demandé à l’UNESCO de reconnaître la ville de Jéricho comme « site du patrimoine palestinien ». Dans sa description de l’histoire de la région, la demande de l’AP fait référence à « l’époque de l’occupation israélienne (1967-1994) ».
L’Autorité palestinienne a donc reconnu, par écrit, que l’occupation israélienne avait pris fin en 1994.
La même phrase apparaît dans un autre document de l’AP-ONU.
En 2008, l’Autorité palestinienne a demandé aux Nations unies de l’aider à améliorer sa politique de recouvrement des impôts. Après une étude de deux ans, le ministère des Finances de l’Autorité palestinienne et le Programme des Nations unies pour le développement ont publié un rapport intitulé « Diagnostic Study of Property Tax in the Occupied Palestinian Territory » (Étude diagnostique de l’impôt foncier dans le territoire palestinien occupé).
Le rapport a étudié l’histoire de la collecte des impôts dans la région, ce qui l’a obligé à reconnaître les changements entre les années où Israël a occupé les villes arabes palestiniennes et les années qui ont suivi la fin de l’occupation. Ainsi, à la page 49, nous trouvons la section 6.1, intitulée « Impôts dans le territoire palestinien occupé – Occupation israélienne (1967-1994) ».
© Equipe de rédaction Israel247.org.
Merci au juriste Eugene Kontorovich, au blog « Elder of Ziyyon », et à Jonathan Simon Sellem d’avoir signalé à Israel 24-7 l’existence de ces documents, même si aucun média n’en parlera, je vous encourage à les conserver précieusement et à diffuser largement cet article.
Jéricho, dont les murailles s’écroulèrent au son des trompettes de Josué, 12 siècles avant notre ère, l’aveugle guéri par Jésus (« ta foi t’a sauvé »), la conversion de Zachée, ses palais et jardins bâtis par Hérode le Grand.. et maintenant occupée par des musulmans, qui ont l’outrecuidance de la revendiquer comme ‘site du patrimoine palestinien ».. qui n’existe pas… ça fait tout de même mal au cœur.