En France, en 2023, la menace antisémite meurtrière ne vient absolument pas de la droite, mais bien de l’Islamo-suprématisme-ultragauchiste, vertigineusement renforcé dans les faits par le macronisme massivement intégrationniste.
A l’occasion de la commémoration de la Rafle du Vel d’Hiv, le nouveau président du CRIF, M. Yonathan Arfi, vient de prononcer un long discours, fortement orienté contre « l’extrême droite », à laquelle il faut selon lui « ne rien céder ».
Il a certes brièvement mentionné le fait que la France Insoumise « … sacrifiait la République sur l’autel du communautarisme… » en qualifiant de « déportation » l’expulsion d’Israël vers la France d’un ancien terroriste du FPLP.
Cela lui a d’ailleurs valu d’être lui-même étiqueté « d’extrême droite » par M. Mélanchon, qui a appelé à voter Macron.
Comme quoi l’on est toujours « l’extrême droite » de quelqu’un, qui s’érige bien entendu en juge de « moralité ».
Cette étiquette « d’extrême droite » est très largement distribuée à tous ceux qui se permettent la moindre critique de la France Insoumise (FI), mais aussi, et surtout du pouvoir macronien, du fameux « en même temps » ni droite ni gauche.
Les élections présidentielles de 2027 ?
Mais l’essentiel du message de Mr Arfi consiste justement à appeler à « un combat moral contre l’extrême droite …/… face à la menace qui gronde pour 2027 », c’est-à-dire pour la prochaine élection présidentielle, donc contre la permanence du pouvoir macronien (un 3e mandat) ou post-macronien (E. Philippe ou Bruno Le Maire, Darmanin, Véran, etc.)
Cette ultime menace « d’extrême droite » serait elle en fait, pour M. Arfi, l’Union des Droites souhaitée par Eric Zemmour ?
C’est la seule alternative réaliste à une prolongation de ce pouvoir macronien abusif qui a endetté la France au-delà du supportable, affaibli, déchiré, égaré, carbonisé la France par une immigration massive, fortement accélérée depuis 2017.
Empêcher à tout prix l’union des Droites ?
L’Union des Droites proposée par Eric Zemmour, a certes été refusée pour l’instant par LR et par le RN, plus préoccupés des égos des uns et des autres que du sort de la nation.
Mais de plus en plus de Français la souhaitent, alors que l’effondrement du pays, livré aux émeutes généralisées, devient évident, avec 800 policiers blessés, des lynchages, des milliers d’incendies criminels et de pillages, sur tout le territoire national.
Car, cette Union des Droites, défendue par Reconquête, est le seul espoir d’une interruption réelle de cette forte immigration, essentiellement arabo-musulmane, qui se trouve être massivement antisémite, les enfants y étant éduqués dans la haine des juifs et d’Israël.
Elle procèderait à l’expulsion immédiate des délinquants étrangers, et à la déchéance de nationalité des terroristes binationaux qui peuvent, sous Macron, vaquer librement et détruire la nation.
M. Arfi, qui prétend se soucier des progrès de l’antisémitisme, ignore une évidence criante.
Au XXIe siècle, les Français juifs ne sont absolument pas victimes de « l’extrême droite », mais bien plutôt les principales victimes, numériquement, et de très loin, d’un antisémitisme meurtrier spécifiquement islamo-suprématiste, qui fait, lui, couler le sang, et même abondamment, et même fréquemment.
Pourquoi ce terrorisme islamo-suprématiste particulier contre les juifs, en France et dans le monde, et contre Israël ?
La doctrine islamique prétend imposer l’Islam à l’humanité entière, de gré ou de force.
C’est « la Soumission » aveugle, à Allah et à ses représentants autoproclamés sur terre, qui est exigée, sous peine des pires tourments.
Avec la déchristianisation, les progrès de l’athéisme, du genrisme et du wokisme, l’occident égaré semble être prêt a s’incliner, « pour avoir la paix ? ». « L’Islam, pourquoi pas après tout ? »
Mais les juifs, eux, jamais ne se soumettront, eux qui ont apporté au monde les Dix Commandements et la civilisation unique de Justice et de Liberté, surtout pas après avoir reconquis de haute lutte leur indépendance, leur souveraineté dans leur très ancien royaume, successivement occupé brutalement par les Romains, les byzantins, les Arabes, les Ottomans et enfin les Anglais, avant d’être finalement libéré au XXe siècle.
Alors, il faut, en conséquence, détruire cet obstacle infranchissable à une domination islamo-suprématiste mondiale. Macron, soucieux d’être bien vu à Alger, laissera faire.
Un narratif mensonger, repris par M. Arfi
L’idéologie bien pensante de gauche, prépondérante dans les médias et certains milieux universitaires « progressistes », a imposé un narratif mensonger selon lequel la gauche aurait « résisté » au nazisme, la droite étant « collaborationniste ».
En fait, c’est exactement l’inverse qui s’est produit.
Pétain était entouré de socialistes, de gauchistes, de « progressistes », dont Mitterand, le socialiste, promoteur plus tard de l’Union de la Gauche, tous enthousiasmés par le socialisme national d’Hitler, les communistes ayant conclu un pacte germano-soviétique, etc. alors que les vrais patriotes, majoritairement conservateurs, et « de droite » étaient à Londres ou en Afrique, pour préparer activement la chute du nazisme.
M. Arfi, dont le prédécesseur à la présidence du CRIF avait déjà insulté M. Zemmour lors de la campagne présidentielle de 2022, et distribué des consignes de vote abusives « pour tous les juifs », M. Arfi a inévitablement repris ce narratif mensonger en présentant la droite (« extrême » bien entendu) comme un danger absolu, pour la France et pour les juifs, alors que c’est le gaucho-centrisme macronien qui livre la France et ses juifs au couteau islamo-suprématiste, vraie menace antisémite meurtrière actuelle et massive.
Les juifs de France au service de Macron ?
C’est le pouvoir macronien, que M. Arfi souhaite protéger de la prétendue menace électorale « d’extrême droite ».
Il prétend enrôler les juifs de France comme petits soldats du macronisme de « l’en même temps » prétendument « ni droite ni gauche ».
Tout simplement !
Macron a déjà été élu deux fois par défaut, contre la droite diabolisée par une campagne médiatique frénétique, sur les chaînes publiques, et avec les voix des islamo-ultragauchistes de la FI, cela avec les voix d’une petite minorité et un taux d’abstention record, causé par le dégoût devant l’offre sempiternelle Le Pen/Macron.
Le macronisme fournit, par son laxisme migratoire extrême, avec des effectifs immigrés croissants, une base électorale à l’ultra-gauche islamo mélanchoniste, tueuse de français et surtout de juifs.
Macron et la FI sont complices et alliés pour un basculement civilisationnel de la France vers un islamo-wokisme ou les juifs n’auront plus leur place.
Macron vote d’ailleurs, à l’ONU, contre Israël et avec les pires dictatures de la planète.
Privée de ses juifs, la France risque de suivre le déclin qu’ont connu l’Espagne, l’Ukraine, la Pologne et que connaissent les pays arabes.
Vous avez tout faux, M. Arfi, et vous ne représentez en rien l’opinion, ni l’intérêt de survie élémentaire, ni la voix des Français juifs.
Cessez de faire la propagande électorale du macronisme !
Le « Conseil Représentatif des Institutions Juives de France » est décidément un organe corrompu, contrôlé par une clique de juifs de cour opportunistes et partisans, et qui est tout sauf « représentatif ».
Il est nuisible et devrait être dissous.
Les Français juifs sont assez grands pour se « représenter » eux-mêmes.
© Jean-Loup Mordekhaï Msika