Un Israélien a été sauvagement battu, et son chien tué, par des musulmans qui terminaient leurs prières dans la ville de Burqin, contrôlée par l’Autorité palestinienne.
Un résident juif de Samarie a été attaqué à midi (vendredi) par des Arabes qui avaient terminé leurs prières à la mosquée de la ville de Burqin, contrôlée par l’Autorité palestinienne, à côté de la ville d’Alei Zahav en Samarie. La victime a été sauvagement battue par la foule et a été blessée sur toutes les parties de son corps. Son chien a été battu à mort.
L’un des agresseurs a été arrêté par les forces de sécurité pour être interrogé.
Au même moment, un véhicule israélien a été attaqué à coups de pierres par des terroristes sur la route d’Alon, près du village d’Al Mughayyir dans la région de Binyamin.
Une violente émeute a éclaté dans la zone peu après, au cours de laquelle les soldats de Tsahal ont tiré et tué un jeune homme arabe de 16 ans. Deux autres résidents de l’Autorité palestinienne ont été blessés par des tirs des soldats.
La nuit dernière, un groupe de trois terroristes, dont un membre des services de sécurité de l’Autorité palestinienne, a ouvert le feu sur un poste de garde à l’entrée de Shchem. Les soldats de Tsahal postés au poste n’ont pas été blessés et ont riposté. Les trois terroristes ont été blessés, dont un mortellement.
Un terroriste a été arrêté et envoyé pour traitement médical. Les deux autres se sont échappés, ainsi qu’un quatrième complice qui est arrivé séparément pour récupérer l’arme utilisée dans l’attaque.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
Source : Israelnationalnews
Encore une sortie de prière « glorieuse ». J’aimerais savoir ce que l’imam pétri d’amour et de foi a raconté à ses « fidèles » ? Ont-ils exaucé ses prières ?
Bref ce ne sont pas des religieux mais des primitifs; des sauvages…
J’oubliais qu’ils aiment la mort et en font leur totem haineux.
Allah est grand et ses adeptes tellement petits !
Ll’islam n’est pas une religion, mais une idéologie totalitaire maquillée en religion, ce qui explique son goût pour le sang. Si ses adeptes se contentaient d’aimer leur propre mort sans s’occuper de celle des autres, personne n’y verrait d’objection, mais hélas…