La récente proposition du président américain Donald Trump de permettre aux résidents de Gaza de trouver refuge en Égypte et en Jordanie reflète un effort créatif de sa part pour remédier à la situation complexe de cette bande de terre.
Donald Trump a raison, leur permettre de partir aiderait les Gazaouis à vivre dans une région sans être constamment sous la menace des violences de l’organisation terroriste qui les dirige.
Cependant, cette idée a été catégoriquement rejetée par l’Égypte et la Jordanie, reflétant une constance symbolique plutôt qu’un engagement actif dans la « cause palestinienne ».
Cette proposition de Trump fait ainsi toute la lumière sur le paradoxe des États arabes et musulmans qui déclarent soutenir la « cause palestinienne » sans pourtant prendre des mesures concrètes pour aider effectivement les Arabes vivants à Gaza.
Par exemple, alors que les médias pro-arabes comme Al Jazeera évoquent un « génocide » à Gaza, aucune de ces nations n’a offert d’abri aux Gazaouis, montrant ainsi une dissonance entre le discours et l’action.
Et vous remarquerez que les pays voisins comme la Jordanie et le Liban ont accueilli des réfugiés de la guerre civile syrienne, mais l’idée d’agir de même pour les Gazaouis est impensable, ce qui révèle la politisation des habitants de Gaza.
Est-ce simplement une manière pour certains régimes de maintenir une image de défenseurs des Arabes tout en rejetant toute solution pratique ? La situation souligne une absurdité, rarement contestée par les acteurs internationaux, où la réalité des Arabes est instrumentalisée pour des raisons politiques plutôt qu’humanitaires.
Quant aux médias, ils donnent l’impression de n’être là que pour jeter de l’huile sur le feu dans le but que les juifs soient toujours plus haïs.