« The Winner takes it all » – Le gagnant remporte tout, nous dit la chanson…

Israël n’a jamais cherché la guerre, ni ne l’a initiée. Elle a, depuis plus de soixante-dix ans, subi toutes les guerres, les assauts, les conflagrations, et les attaques de terroristes arabo-musulmans contre elle et sa population.

Elle a répondu à l’arme par l’arme et a gagné. Seulement, elle a été trop indulgente et généreuse, et aujourd’hui, elle paie cher, très cher même, pour son manque de fermeté, pour ses hésitations, pour son indulgence et sa magnanimité.

Elle aurait dû, comme nous le dit la chanson, remporter le tout et renvoyer tous ceux qui sont venus frapper à sa porte afin de l’égorger. Ce que tout autre pays ferait légitimement si sa vie est mise en danger.

Or, ces erreurs ne peuvent ni ne doivent être indéfiniment répétées. Le Hamas de Gaza et sa population ont procédé de leur propre initiative à l’attaque surprise du 7 octobre 2023. Peu importe s’il s’agit d’un complot entre l’Iran, le Hezbollah et le Hamas. L’attaque faisait suite à une succession monstre de conflagrations, de déluges de roquettes sur tout le territoire israélien, et de terreur.

Le Hamas et ses adeptes ont perdu, en dépit de leur prise d’otages. Israël ne doit pas, absolument pas, redonner les terrains qu’elle a reconquis pour une énième fois, par le sang de ses soldats, de ses otages, de sa population, de ses enfants, tués dans leur berceau. Il y a un prix à payer pour tous les perdants. Point final. Ce scénario doit être écarté à jamais.

La bande de Gaza sera et devra être repeuplée par des juifs israéliens. C’est l’unique solution si Israël veut survivre. Quant aux prétendus Palestiniens, ils sont en vérité des Arabes, des musulmans, qui ont l’alternative/possibilité de rejoindre leurs coreligionnaires des 49 pays arabo-musulmans – Wikipédia : selon le Pew Research Center en 2010, 49 pays ont une majorité de populations musulmanes. Au début des années 2020, les pays qui comptent le plus de musulmans sont l’Indonésie, suivie de l’Inde et du Pakistan.

Les juifs n’ont nulle part où se rendre, où se réfugier, hormis Israël, terre de leurs ancêtres, comme le précise si bien le Coran dans sa sourate 5:21 que la terre d’Israël est bien celle des Juifs : Moïse dit : « Ô mon peuple, pénétrez dans la terre sainte qui vous a été prescrite par Dieu et ne retournez pas sur vos pas, vous serez parmi les perdants ». Ce qui, en principe, annule toute revendication des musulmans sur les terres d’Israël.

La Judée et Samarie, de son nom même, a toujours été juive. La remettre aux prétendus arabo-palestiniens, c’est pousser le cynisme à son extrême. Cette faillite morale et stratégique n’a servi à rien aux juifs d’Israël, sinon qu’à les exposer aux attaques inexhaustibles des arabo-palestiniens, alors qu’ils pouvaient simplement les aider à rejoindre leurs frères en Jordanie, en Arabie saoudite, ou ailleurs. Rappelons que la Jordanie a été arbitrairement offerte aux Arabes : 77 % du territoire de la Palestine mandataire a été offert par les Anglais à Abdallah d’Arabie saoudite, qui s’est immédiatement ceint le front d’une couronne royale.

Cela nous donne un petit aperçu de l’appétit gigantesque des Arabes envers tout territoire où ils posent leurs pieds.

Rappelons ici que l’Afrique du Nord n’a jamais été musulmane. Elle le devint lorsque Mahomet s’est lancé dans la conquête du monde et son islamisation, et a été arrêté à Poitiers, en France, par Charles Martel. Il faut aussi croire que Mahomet avait adopté le programme de ses prédécesseurs, les chrétiens.

La loi du plus fort est toujours la meilleure et il est largement temps qu’Israël en fasse usage si elle veut survivre dans un monde en perpétuelle évolution, métamorphose et substitution de population.

Toute autre solution remettra le danger d’existence de l’État juif d’Israël à nouveau sur les rails.

Alors, ayons le courage de dire non aux dirigeants démocrates américains qui veulent nous imposer un État palestinien à nos portes.

Dire non à ces gauchistes progressistes qui veulent transformer le monde déjà en chaos, en un califat arabo-musulman.

Dire non à tous ceux qui préconisent la fin de l’humanité en imposant leurs idées suicidaires, changement de sexe, matrice artificielle, entre autres heurts et malheurs.

Sans cela, il n’y aura plus de lendemains pour nous tous.

Thérèse Zrihen-Dvir

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