Smotrich sauve Israël d’une catastrophe : un cheval de Troie planté par l’Europe dans le Traité d’Istanbul

Une clause de l’accord de coalition du Likoud avec le Parti du sionisme religieux dirigé par Bezalel Smotrich stipule que « le gouvernement n’approuvera pas l’adhésion d’Israël au traité d’Istanbul », rapporte Walla dimanche.

Le traité, initié par le Conseil de l’Europe, porte sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique. Pourquoi Israël refuserait-il de signer un tel traité, alors que la violence domestique, en Israël, est bien plus faible que dans les autres pays de l’OCDE ?

Parce qu’il est piégé.

Signée à Istanbul le 11 mai 2011, ce traité des droits de l’homme contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique contient un piège destiné à forcer les pays qui offrent un abri temporaire aux réfugiés des zones de conflit à accepter ces réfugiés de manière permanente.

En toute transparence, notons qu’en mai dernier, le ministre de la Justice Gideon Sa’ar a levé le lièvre et a retardé le vote du gouvernement pour signer la Convention. Allant plus loin, Smotrich a fait dépendre la signature du prochain gouvernement.

L’Association des Centres d’aide aux victimes de viols en Israël a publié une déclaration en colère disant :

« Le fait que le futur premier ministre soit prêt à abandonner les femmes à la torture psychologique et à la violence incessante est inconcevable. »

On n’attendait pas d’autre réaction : il y a peu de chances que les membres de cette association soient des électeurs du Likoud. Et le fait que la convention comporte un tel piège létal, l’ouverture des frontières à l’immigration, ne doit pas leur déplaire non plus.

La Convention d’Istanbul n’e’est donc pas seulement destinée au droits des femmes. Il s’agit aussi et peut-être surtout, de forcer les pays d’accueil qui commettent l’erreur de l’avoir signée. Ils seront contraints d’ouvrir leurs frontières et de naturaliser des milliers de réfugiés qu’ils pensaient pouvoir un jour renvoyer chez eux.

Les articles 59, 60 et 61 de la Convention d’Istanbul sont dévastateurs pour Israël

Chacun de ces trois articles détruit la doctrine d’Israël en tant qu’Etat juif, refuge pour les Juifs du monde entier. Tzipi Livni a du se réjouir à l’idée que le traité serait signé.

En conclusion, l’objectif principal de la Convention d’Istanbul n’est pas d’influencer les politiques d’immigration des États signataires en faveur des femmes en souffrance, mais de supprimer toutes les barrières, toutes les limites à leurs politiques migratoire, pour qu’elles suivent l’agenda progressiste de la gauche sans frontières.

© Equipe de rédaction Israel247.org.

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Source : https://www.jewishpress.com

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