Les sages de Chelm
Qui était Yahia Sinwar ? Un terroriste arabe qui croupissait dans les geôles israéliennes, et atteint d’un cancer au cerveau, que les trop bénévoles gauchistes/idiots utiles juifs d’Israël ont soigné dans leurs hôpitaux.
C’est un fait bien connu que certaines des personnes qui détestent le plus Israël sont les mêmes qui finissent par s’enregistrer au centre médical Hadassah de Jérusalem pour y recevoir des traitements médicaux de pointe, et ce parce que la politique d’Israël a toujours été de traiter les terroristes et les victimes de la même manière.
Saeb Erekat, haut dirigeant de l’OLP, en est un exemple : lorsqu’il a contracté le COVID-19 en 2020, il a choisi de se rendre à Hadassah plutôt que dans un hôpital palestinien.
Bien qu’il ait passé sa carrière à mentir sur Israël et à le traiter de nation d’oppresseurs et de criminels de guerre, il a, néanmoins, estimé que c’était « le meilleur endroit de la région pour demander de l’aide ». Bien sûr, il a été gracieusement accepté comme patient, sans condition. Il n’est pas une anomalie. De nombreux autres ennemis d’Israël ne se sont pas vu refuser un traitement dans les hôpitaux israéliens.
Mais, parmi tous ces cas, rien n’égale la réalité exaspérante selon laquelle le chef du Hamas à Gaza, Yahya Sinwar, a eue la vie sauve grâce à des médecins israéliens qui ont opéré sa tumeur au cerveau en 2006, à une époque où « il purgeait plusieurs peines de prison à vie pour l’enlèvement et le meurtre de deux soldats israéliens en 1988 ». Il a ensuite été libéré ainsi que 1200 autres criminels palestiniens, lors de l’échange outrageux de prisonniers en 2011 contre l’otage unique israélien, le soldat de Tsahal, Gilad Shalit.
https://allisrael.com/fr/israel-a-sauve-la-vie-du-cerveau-du-7-octobre
Ce n’est sûrement pas une fable/anecdote tirée des contes célèbres des Sages de Chelm… C’est tout Israël cela, et cela perdure. On ne sait plus s’il faut en rire ou en pleurer.
Certains affirmaient que Sinwar se lamentait comme une gonzesse avant chaque traitement… Aucune bravoure, courage ou dignité… un pauvre mec qui eut la vie sauve, imméritée. Et c’est le même individu qui a récompensé Israël, ses docteurs, ses hôpitaux, en assassinant sauvagement plus de 1300 israéliens, en capturant 300 autres, dont des bébés, des vieillards, femmes et hommes, civils et militaires – devenus otages qu’il monnaie selon ses propres désirs et ambitions.
Et le monde entier danse au son de sa flûte.
Il est devenu un surhomme… il a gagné sa place au sein des héros, des braves… il est glorifié dans les campus des universités du monde entier. Détruire son effigie est devenu mission fastidieuse, mais obligatoire.
Les USA lui font des promesses sur le dos d’Israël et à son insu. Le monde arabe le vénère… Eh oui, Hitler n’était-il pas vénéré de ses propres concitoyens qu’il a menés vers leur mort, vers leur suicide ? Combien d’entre eux étaient prêts à mourir pour lui ? Un mythe dans tous les mauvais sens du mot, mais qui résiste et réussit à subjuguer des adeptes. Il suffit d’une masse de timorés pour former une armée aveugle et amoureuse de cet énergumène, qui se sacrifiera pour le seul privilège de le servir. Regardez ces Iraniens, lors de l’arrivée de Khomeiny en Iran. Les femmes sous leur tchador noir qui baisaient sa photo du cet abominable individu. Ils ne voient pas ses crimes… Ils sont comme hypnotisés. Ces monstres qui se disent envoyés de Dieu, sont les bourreaux de leur propre peuple. Sinwar l’est aussi pour tous gazaouïs qui pourtant ne cesseront jamais de l’adorer et de le suivre.
“Lorsque Sinwar a kidnappé les citoyens israéliens, dans le pire des cas, il ne les a pas du tout soignés et dans le meilleur, il les a abandonnés à un vétérinaire pour les opérer comme cela a été le cas de Mia….. » Yossef Haddad.
C’est face cet énergumène qu’Israël est contraint de négocier… des otages et des cadavres. Aucun respect pour le vivant ou pour le mort.
Comment alors admettre que l’Israélien puisse voir en ces psychopathes des êtres humains ? Et comment pouvoir vivre à leurs côtés ?
Que le Tout-Puissant nous vienne en aide, Amen.
Thérèse Zrihen-Dvir