Reportage exceptionnel du réalisateur Pierre Rehov : Les origines nazie et soviétique de la « cause palestinienne »

Initialement publié le 28 décembre 2021 @ 7h23

Le gangster et terroriste tueur d’enfants Arafat, avec le président de l’URSS, Leonid Brejnev

Jusqu’en 1964, un Arabe vivant en Judée-Samarie, à Gaza où dans ce qui est aujourd’hui Israël, aurait considéré comme une insulte d’être appelé « Palestinien ». Pour les Arabes, un Palestinien c’était un Juif sioniste. Certains s’entendaient bien avec eux. Grand nombre les haïssaient. Ces Arabes étaient pour la plupart des métayers, ou des bédouins itinérants. Aucun ne possédait la terre sur laquelle il vivait. Terres que les mouvements sionistes ont achetées à prix fort à leurs propriétaires légaux, pour la plupart vivant à l’étranger, souvent des Turcs, des Syriens ou des Libanais. Terres que les nationalistes arabes, sous la houlette du nazi Hadj Amine Al Husseini ont voulu reprendre, et qu’ils continuent de vouloir voler. Il a fallu attendre 1964 pour que Nasser, dont la volonté hégémonique sur le Moyen Orient était mise en échec, s’associe, sous l’impulsion du KGB, avec le gangster et futur terroriste Yasser Arafat, afin de trouver, ensemble, un moyen diplomatique de détruire Israël, puisque les guerres ne les conduisaient qu’à des défaites. C’est ainsi qu’est né le peuple « Palestinien », un mythe et sans doute l’une des plus grandes escroqueries de l’histoire de l’humanité.

Vidéo-reportage :

Le premier leader des Arabes de « Palestinine » Hadj Amine Al Husseini et Hitler
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