La bande de Gaza dans son statut actuel ne permet à personne de l’habiter. Toutes les infrastructures élémentaires – électricité, eau potable, sanitaires, sont détruites alors que 70 % de la totalité des bâtiments est en ruines. Les 30 % restants sont inhabitables.
Personne ne pourra accuser Israël d’avoir détruit toute la bande de Gaza – il n’y avait aucun moyen de l’épargner justement à cause du métro militaire/arsenal que le Hamas y avait construit et qui sillonne toute la bande de Gaza dans tous les sens, depuis la frontière égyptienne jusqu’au dernier bâtiment de Gaza. Ce métro relie par ses tentacules la majorité des bâtiments, qu’ils soient des crèches pour enfants, des écoles, des hôpitaux, des résidences… une véritable taupinière où le Hamas conservait ses terroristes et officiait en qualité de quartier général.
Ces tunnels lui permettaient non seulement le trafic de contrebande, le vol, le crime, la terreur… mais aussi était un moyen infaillible de maintenir la population arabo-palestinienne sous son joug. Même l’UNWRA servait de bastion pour ses besoins… La majorité des employés de cette institution étaient des membres de Hamas – quelque 30 000 individus prétendument employés pour assister les réfugiés éternels de Palestine. En vérité, ils étaient ses milices.
Afin de pouvoir nettoyer le sous-sol, il fallait atteindre ce métro dans ses innombrables issues et les détruire, ce qui en fait, entraînait la démolition intégrale de tous les bâtiments sur lesquels le métro avait été conçu. La population gazaouis a été contrainte de quitter toute la région et de se grouper dans un nouveau camp de réfugiés. L’Égypte a aussitôt scellé sa frontière pour empêcher les Arabes de Palestine de se déverser sur son sol. La Jordanie a suivi le même programme. D’entre 57 pays arabes, on ne trouve aucun volontaire à les héberger. Cela nous donne une idée du genre de soutien fraternel dont jouissent les Arabes en général. Soutien surtout parlementaire, financier, mais jamais factuel.
Nous recevons une image assez convaincante de l’hypocrisie de la Ligue arabe et des pays arabes.
Il faut admettre qu’ils sont plus intelligents que les Occidentaux.
«Je suis avec vous en pensée mais jamais sous mon toit que je veux préserver contrairement aux Européens et Américains qui ouvrent leurs portes à tous les aventuriers et/ou réfugiés, et qui naturellement, seront ceux qui les substitueront, le temps, la démographie et la démocratie aidant».
Que fait-on de ces deux millions de gazaouis en vadrouille ? Pour que la bande de Gaza puisse devenir habitable, il faut au moins une bonne dizaine d’années et un investissement énorme de fonds. En ce qui concerne les fonds, les pétrodollars y contribueront, pourvu que ces gazaouis dits palestiniens n’échouent pas à leurs portes, mais leur servent de moyens de torpiller les assises de l’État juif d’Israël.
Ne croyez surtout pas que ces pays arabes réfractaires n’ont pas raison : un petit rappel en ce qui concerne l’ambiguïté des Arabo-Palestiniens.
- La Jordanie qui en avait hébergé un grand nombre d’Arabo-Palestiniens a failli perdre son trône. Notons en passant, que ces Arabo-Palestiniens que la Jordanie avait supposément accueillis n’étaient pas des réfugiés puisque la Jordanie a été créée sur 77 % de la Palestine mandataire… et donc étaient des citoyens de cette région. Là, encore la fourberie arabe nous frappe.
- Chassés de la Jordanie, ces Arabo-Palestiniens s’étaient réfugiés au Liban et contribuèrent à son malheur. Le Liban a perdu sa sécurité, son intégrité et ses caractéristiques. Bien que ces Arabo-Palestiniens n’aient jamais reçu la nationalité libanaise, leur démographie galopante a changé les donnes.
- Au Koweït et en Syrie, les Arabes de Palestiniens ont œuvré à leur destruction… Le Koweït a été sauvé de justesse par les USA, lors de la guerre du Golfe.
Il faut comprendre donc que ces Arabo-Palestiniens ne cherchent nullement à créer un État palestinien, ils n’ont jamais eu d’État dans le sens propre du mot, mais surtout une intention d’opérer une substitution en leur faveur… et cela se fera de manière explosive dans toutes les démocraties qui les hébergeront.
Le Cairn nous informe concernant les Arabes de toute la région :
Quant aux habitants de l’Arabie ou du moins de sa partie centrale, qui étaient appelés par les auteurs anciens Arabes scénites, c’est-à-dire vivant sous la tente (du grec skênê), ils reçurent ensuite le nom de Sarakênoi, en grec, et Saraceni, en latin, qui a donné en français Sarrasins. Ils étaient donc considérés essentiellement comme des nomades, sens qu’a conservé en arabe l’appellation al-‘arab.
À l’heure actuelle, ces Arabo-Palestiniens, qui n’avaient jamais connu d’État, mais étaient généralement des nomades opportunistes à la recherche d’un gagne-pain, sont devenus, suite aux tentatives des Occidentaux d’éliminer Israël, des réfugiés, des apatrides – qu’ils ont toujours été…
Un nomade est apatride – et c’est bien ce que sont les Arabes de Palestine.
Il ne reste en fait, qu’un espoir assez aléatoire :
Tony Blair, ancien chef d’État britannique, renchérit
«Alors que la nature de la barbarie et de la sauvagerie révoltante de l’attaque du Hamas contre Israël devient évidente, et que les auteurs de cette attaque savent pertinemment qu’elle entraînera non seulement la désolation et la tragédie pour les Israéliens, mais aussi pour les habitants de la bande de Gaza. Il devient également évident que des décennies de diplomatie occidentale conventionnelle autour de la question israélo-palestinienne devront être fondamentalement repensées.
https://www.le1.ma/israel-envisage-de-nommer-tony-blair-coordinateur-humanitaire-pour-gaza/
Plus les Occidentaux insistent à financer ces dits palestiniens, à les aider, à les soutenir devant l’ONU, devant la cour de Hague, plus ces Arabes de Palestine s’enrichissent à leurs dépens, et rient sous cape…
Israël poursuit son chemin, en leur tenant tête et en les évinçant.
Et qui va devoir les prendre ? Les Européens, le Canada… pas bête les États arabes, aucun d’eux ne les veut et pour cause… Les Européens les ont parrainés depuis qu’ils ont en fait un peuple palestinien fictif, alors qu’en vérité, ils ne sont tous que des Arabes… Un mauvais pion sur l’échiquier international qui agit en boomerang et frappe ses partenaires.
© Thérèse Zrihen-Dvir, repris de son blog.