Un soupir de soulagement s’est échappé en somme de cette masse d’ombres mouvantes à la recherche d’une rédemption. Mais à quel prix, certains soutiennent. Combien de morts, de blessés, de souffrants ? Les chiffres sont là, preuve désolante du manque de créativité humaine, preuve de bassesse, d’erreurs incommensurables, de malignité, d’imprudence et tant d’autres aspects qui font le jeu du diable.
La route est longue, longue, longue, tu marches sans jamais t’arrêter. La route est dure, dure, dure. Tu chantes si tu es fatigué, et ainsi va la vie, nos jours panachés de quelques gouttelettes de joie, de bonheur que nous luttons à perpétuer.
Elles sont courtes ces minutes, comme si le destin s’amusait à nous faire entrevoir ce qui nous échappe et que nous aspirons tant à conserver aussi longtemps que nos forces subsistent.
Alors, l’homme tourne le dos au destin, au sort, pleinement conscient de la futilité de ses vœux, de ses aspirations et se prépare aux coups suivants qui ne tardent jamais à poindre.
En effet, cela n’a pas tardé. Le plaisir du Hamas et sa victoire sur l’Israélien se résument par le geste simple de lui tourner le couteau dans la plaie, soit en lui exposant l’agonie des otages, soit en ne lui remettant les dépouilles des otages assassinés qu’en compte-gouttes.
Les proches, familles des malheureuses victimes vont devoir s’armer de patience, attendre, supplier, menacer le gouvernement pour son erreur de croire encore en l’arabe, en le Hamas.
Et le président des USA, Donald Trump, fait son baptême dans la fréquentation des très versatiles et dangereux arabo-musulmans de Palestine et de la région entière.
Un avant-goût de ce qui l’attend s’il est réellement sérieux dans son plan de paix à 20 points, lequel révèle ses premières fissures.
Ou alors, ce plan n’a été établi que dans l’objectif de libérer des mains du Hamas les otages vivants.
Dans les alcôves, des gens qui souffrent et ceux qui rient encore de leur belle blague.
On se demande toujours quel est le but de tout ce remue-ménage ? Quelqu’un a parlé de haine, d’autres d’hégémonie iranienne, en somme, cela ressemble beaucoup plus à un réveil des anciens empires, une résurrection de l’empire perse, ottoman, égyptien, tandis que de l’autre côté, les empires prédominants, agonisent.
La Paix ne viendra que lorsque l’homme aura réussi à la maîtriser en lui-même. En attendant, on joue au vilain, au cruel, et au masochiste qui aspire à la disparition de l’humanité entière.
Rejet total de l’humanité, qui d’ailleurs fait son chemin à travers le progressisme et la gauche politique.
Entre-temps, le religieux, le croyant, s’accroche à son livre de prières, l’autre à son arme, tandis que le cynique les observe, riant aux étoiles.
© Thérèse Zrihen-Dvir
Le soulagement: les otages survivants sont rentrés en Israel . Hamas tardent à restituer les corps. Le livre de prières et l’arme sont parfaitement compatibles.
4. L’habitant des ciels se rit; Adonaï se moque d’eux. LOUANGES 2V4
Le croyant, le soldat, le septique tout cela est très compatible ! Il doit exister un « législateur » qui définit les lois de l’univers. Affaire à suivre donc !
« Ne laisses pas l’erreur entrer dans ta pensée et y rester. »
Bonjour, c’est dur a lire, je retient « libérer » des vivants,c’est fait, mais la suite est importante et là ce n’est pas gagner,ce monde aspire tellement a nous virer que ce soit en Israël, ou en Diaspora .
Je remarque que les gauches, quelque soit le pays, sont les mêmes profiter d’une guerre avec les voisins,ou d’un conflit interne, pour virer le gouvernement élu, surtout si il est de droite !