Obama/Soros, ou l’entreprise colossale du démantèlement des USA

Ce n’est plus un secret… Soros a été interviewé à la télévision, et sans honte ni remords a déclaré vouloir anéantir Israël. Ses raisons, boiteuses et sans socle évident, n’amusent plus, lorsqu’il s’agit surtout de démanteler les USA, et qu’Israël pour sa survie, est contraint de se transformer en un soldat perturbant l’échiquier d’Obama/Soros.

Depuis 2016, l’Open Society Foundations de George Soros a accordé plus de 15 millions de dollars à des organisations dénonçant « l’occupation israélienne », selon le « New York Post » – LeJDD.fr

Le site de Georges Soros

« La lutte pour les droits des Palestiniens » avec les « mouvements progressistes de justice sociale aux États-Unis ».

Alors que les manifestations pro-palestiniennes font rage dans les universités des États-Unis d’Amérique, un rapport du New York Post affirme que le milliardaire philanthrope George Soros a contribué à alimenter l’agitation de masse. « George Soros et ses acolytes de la gauche dure paient des agitateurs qui alimentent l’explosion des manifestations anti-israéliennes radicales dans les universités du pays », indique le rapport. Le rapport poursuit en affirmant que les villages de tentes installées dans des universités telles que Harvard, Yale, Berkeley en Californie, l’université de l’État de l’Ohio et Emory en Géorgie ont été aidés par des branches organisées de Students for Justice in Palestine (SJP) financées par Soros. Notamment, dans certains de ces camps, des affrontements ont éclaté entre la police et les manifestants. Qui est George Soros ? Gestionnaire de fonds spéculatifs devenu philanthrope, George Soros, 92 ans, est le principal soutien des causes libérales, selon Reuters. L’année dernière, l’investisseur milliardaire avait remis en question les liens entre Gautam Adani et le Premier ministre Modi. Dans l’un de ses discours, l’homme d’affaires américain d’origine hongroise a déclaré qu’il souhaitait un « renouveau démocratique » en Inde. Abhijit Iyer-Mitra, chercheur principal à l’Institute of Peace and Conflict, a déclaré que M. Soros souhaitait que ce type d’organisation soit appliqué partout, où les entreprises détermineront l’avenir d’un pays et non les citoyens. «  C’est le système qui lui convient le mieux, car il peut alors vendre à découvert et gagner de l’argent grâce aux inefficacités du système », a déclaré M. Mitra. Le ministre indien des Affaires étrangères avait un jour décrit George Soros : Une personne âgée, riche, qui a des opinions bien arrêtées et qui est dangereuse.

https://adalahjusticeproject.org

D’ailleurs, il était plus que clair que les manifestations ravageuses en Israël «  pour la démocratie » étaient fondamentalement financées par Soros. Un juif qui n’a rien de juif, mais qui est aussi une honte à l’humanité entière. Son besoin de destruction ne connait aucune limite.

Les collaborateurs de M. Obama ont clairement stipulé que son second mandat serait consacré à la conclusion d’un accord nucléaire avec l’Iran. L’objectif de cet accord, officiellement connu sous le nom de Plan global d’action conjoint (JCPOA), n’était pas d’empêcher une bombe iranienne – en fait, l’accord légalise le programme d’armes nucléaires du régime clérical. Il s’agissait plutôt de réaligner les intérêts américains sur ceux de Téhéran, tout en laissant tomber les partenaires traditionnels des États-Unis, en particulier Riyad et Jérusalem, les autres piliers régionaux de l’ordre américain. Pour couronner ses huit années de démantèlement des instruments de la politique américaine au Moyen-Orient, la dernière initiative de M. Obama en matière d’affaires étrangères a consisté à faire adopter par le Conseil de sécurité des Nations unies une résolution reprenant la position palestinienne selon laquelle Israël violait le droit international en occupant, entre autres, des lieux saints historiques juifs.

Le fait essentiel est le suivant : L’ordre régional rétabli par M. Trump fait depuis longtemps partie de la formule qui garantit le maintien de la paix et de la prospérité au sein des États-Unis. En d’autres termes, les mesures prises par Obama et maintenant par Biden n’ont pas pour but premier de déstabiliser le Moyen-Orient. Elles visent plutôt à déstabiliser les États-Unis.

Les mesures prises par l’équipe Biden pour abriter le Hamas se comprennent mieux dans le contexte d’un programme révolutionnaire d’initiatives intérieures visant à reconstituer la société américaine sur de nouvelles bases – projet Soros- ce qui nécessite le rejet pur et simple de l’histoire et de la culture du pays, de ses arrangements sociaux existants et de l’ordre constitutionnel.

Lee Smith, Tabletmagazin

Nous pouvons aisément observer que cette politique a été adoptée par la majorité des démocraties européennes… d’où substitution de population et perte de pouvoir – islamisation.

Le régime actuel a militarisé l’État sécuritaire, qualifié ses opposants de « terroristes nationaux » et mené une campagne digne du tiers-monde contre le candidat de l’opposition parce qu’il s’agit d’une faction révisionniste. Son manifeste politique et culturel est un programme visant à refaire l’Amérique, que ce soit par la pression sociale, la censure, la réforme bureaucratique, les menaces de violence ou la violence réelle. Entre autres moyens de transformer l’Amérique, l’administration Biden a ouvert la frontière à au moins 7 millions d’étrangers illégaux (et ce n’est pas fini), dont beaucoup sont des ressortissants du Moyen-Orient où le Hamas est vénéré, et pour qui la violence politique est synonyme de travail stable et bien rémunéré.

Ce n’est pas l’ordre traditionnel dirigé par les États-Unis au Moyen-Orient que la faction révisionniste – celle d’Obama et de Soros – est la plus déterminée à démanteler, mais plutôt l’ordre existant aux États-Unis. Pour que le parti qu’Obama a remodelé à son image triomphe chez lui, il faut que les Palestiniens gagnent.

Et en effet, il n’y a qu’à observer les ravages infligés par les adorateurs du Hamas et consorts, tant aux USA qu’en Europe et en Israël, pour comprendre que rien n’est le fruit du hasard et que les plans de destruction d’Obama/Biden et Soros sont sur le point de se réaliser.

Biden suit à la lettre les instructions d’Obama et empêche Israël de démanteler le Hamas et même de riposter contre l’avalanche des 336 missiles iraniens et mettre fin à la guerre d’usure du Hezbollah contre le nord d’Israël. Initiatives qui vont contre les plans de Biden/Obama/Soros. Biden et son sbire Blinken mettent en réalité des bâtons dans les roues à Israël et si le petit Etat juif veut survivre, il va falloir désobéir à cet allié, devenu son pire ennemi.

Thérèse Zrihen-Dvir

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