Le « père » de la bombe atomique Robert Oppenheimer, physicien américain, né le 22 avril 1904 à New York, mort le 18 février 1967 à Princeton (New Jersey), s’est distingué en physique théorique puis comme directeur scientifique du projet Manhattan. À cause de son rôle éminent, il est régulièrement surnommé le « père de la bombe atomique ».
Plus que toute autre personne Klaus Fuchs a mis en danger la sécurité globale et causé davantage de dégâts qu’aucun autre espion, non seulement dans l’histoire des États-Unis, mais dans l’histoire des nations.
Pour expliquer sa trahison, Fuchs a dit et répété : la possession de tels secrets ne devait pas rester entre les mains d’une seule nation.
C’est sous ce concept notoire de Klaus Fuchs que Barak Obama, ancien président américain a permis la poursuite du nucléaire iranien maintenue par son successeur Joe Biden, aisément reconnaissable à travers ses récentes manœuvres.
Les accords d’Abraham ne sont qu’un trompe-l’œil. Les véritables projets américains comprennent la nucléarisation totale de tout le Moyen-Orient à commencer par l’Iran.
D’où les récentes négociations avec l’Arabie Saoudite qui exige un soi-disant nucléaire pacifique, et inviterait du même élan l’Égypte, la Turquie et d’autres pays arabes dans cette partie du globe à faire de semblables demandes, allant contre les promesses faites à Israël, qui de ce fait, perdrait un moyen infaillible de dissuasion.
Mais au total, le Moyen-Orient deviendra nucléaire et représentera une menace permanente aux pays occidentaux et Israël, en particulier.
C’est aussi la raison qui contraint Biden à réclamer de l’Arabie saoudite une normalisation avec Israël, auquel il promet une sécurité, dorénavant remise en question.
La traitrise a toujours été le pion le plus convoité en politique internationale et le demeure.
La question que tous doivent se poser : est-ce que la nucléarisation totale du Moyen-Orient condamnerait tout danger de son usage lors de conflits armés, si fréquents dans cette partie du globe ?
C’est ce que Klaus Fuchs pensait, je dirais même, qu’il en était certain.
La dissémination du nucléaire : Un jeu de poker très dangereux, si nous nous offrons une analyse des plus correctes des conflits récurrents régionaux et des menaces ouvertes énoncées ou dissimulées.
Tout ce qui se trame en ces récents jours et que Biden s’évertue à cacher aux Israéliens nationaux, mais pas aux progressistes qui eux, sont convaincus de la nécessité d’implémenter ces plans.
Qu’en pensez-vous ?
Qui étaient Robert Oppenheimer et Klaus Fuchs ?
Klaus Fuchs a livré aux Soviétiques les secrets dont il disposait sur la fabrication de la bombe atomique. Et il les connaissait tous, puisqu’il avait fait partie du team de physiciens de haut niveau, directement responsables de la conception de l’arme ultime. Le fameux « projet Manhattan », au laboratoire de Los Alamos. Il faisait même partie du groupe de savants ayant assisté au premier essai, grandeur nature, de l’arme nucléaire, le 16 juillet 1945, dans le désert du Nouveau-Mexique. Moins d’un mois avant le bombardement de Hiroshima et de Nagasaki. Il avait aussi été associé de très près au développement de la bombe à hydrogène. Il est considéré comme l’un des « pères de la bombe H ».
Quant à Robert Oppenheimer : Julius Robert Oppenheimer, généralement appelé Robert Oppenheimer voire J. Robert Oppenheimer, physicien américain, s’est distingué en physique théorique puis comme directeur scientifique du projet Manhattan. Opposé au développement d’armes thermonucléaires, il est discrédité par le gouvernement américain dans les années 1950 à l’époque du maccarthysme. Réhabilité dans les années 1960, il termine brillamment sa carrière universitaire. Élevé dans une famille juive fortunée, intellectuelle et libérale, en février 1943, malgré l’opposition des services de sécurité de l’armée américaine due aux relations passées d’Oppenheimer avec des militants de gauche, le général Leslie Richard Groves le nomme directeur scientifique du projet Manhattan. Sous sa direction efficace, le laboratoire national de Los Alamos met au point les trois premières bombes atomiques de l’Histoire. S’il est partisan de l’usage tactique de ce type de bombe à des fins de dissuasion, il s’est en revanche un temps opposé au développement de bombes thermonucléaires, plus puissantes, jugeant ces dernières potentiellement trop destructrices pour un usage défensif.
Thérèse Zrihen-Dvir