Les médias nous disent que la plupart des habitants de Gaza ne soutiennent pas le Hamas

Très bien.

Où sont alors les protestations palestiniennes exigeant que le Hamas libère les otages enlevés – enfants, jeunes enfants, grands-parents, civils – immédiatement et sans condition ?

Avez-vous vu un seul manifestant, à Paris place de la République, à Times Square ou à Trafalgar Square à Londres, avec une pancarte « Pas en mon nom » ?

Où sont les intellectuels palestiniens exprimant leur profonde horreur que des actes aussi cruels aient été perpétrés au nom de la « Palestine libre du fleuve à la mer » ?

Si l’OLP, le Fatah et l’Autorité palestinienne représentent les Palestiniens modérés, où sont leurs dénonciations sincères ? Pourquoi les dirigeants exercent-ils (en vain) une pression internationale pour tenter d’obtenir ne serait-ce qu’une pâle ombre de dénonciation ?

Si le Hamas n’est pas soutenu par Gaza, où sont les Arabes de Gaza qui fourniront des informations sur les otages ?

Il n’y a pas de « palestinien » innocent.

Chacun d’eux a participé, selon ses moyens, aux activités terroristes du Hamas. Chacun d’eux a un frère, un père, un cousin, un neveu membre du Hamas. Tous se réjouissent à distribuer des gâteaux, quand des juifs sont massacrés.

Même dans l’Allemagne nazie, lorsque des Allemands comprirent qu’Hitler provoquait un désastre dans leur pays, certains tentèrent de l’assassiner. Où sont les Palestiniens de Gaza qui prendront des mesures contre le Hamas ?

Et pourquoi la réponse instinctive de tant de personnes à ces questions consiste-t-elle à chercher des excuses aux Palestiniens ?

De très rares voix courageuses, arabes et musulmanes, expriment ces sentiments et ces idées. Pourquoi attend-on si peu des Palestiniens ? Et du monde arabo-musulman ?

© Abraham Chicheportiche pour Israël247

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