Les manifestations massives et la grève qui les accompagnaient ont été présentées comme apolitiques et uniquement en soutien aux otages, ce qui a été contredit par les témoignages de personnes indépendantes.
Dimanche, Avishai David, le père de l’otage Evyatar David, a vivement critiqué ces rassemblements perturbateurs à l’échelle nationale, affirmant que leur but réel n’est pas le retour des otages mais le renversement du gouvernement.
En fustigeant le Forum des familles d’otages, il a souligné que certaines de ses actions sont motivées politiquement :
Certaines familles ne veulent pas de ce comportement. L’objectif, caché ou affiché, est d’abord de renverser le gouvernement et son dirigeant. Il y a des gens formidables dans le forum qui font beaucoup de sacrifices pour les familles, mais derrière cela se cache l’intention de faire tomber le gouvernement.
Selon David,
« Il y a un mouvement qui s’est greffé sur le dos des familles d’otages. Je le dis avec regret ; c’est très dur pour moi. Le forum a fait des choses remarquables, mais de temps en temps, la haine contre le gouvernement et contre Netanyahou ressurgit. Il y a une force négative qui n’en démord pas et qui ne laisse passer aucune occasion de s’opposer au gouvernement et de faire tomber Netanyahou. »
Il a aussi affirmé que les organisateurs avaient utilisé la photo de son fils à des fins de propagande sans le consentement de la famille.
« Nous avons vu la photo sur les tracts appelant à la grève ; la grève est tellement injustifiée, je ne sais pas qui ça aide, » a‑t‑il expliqué. « Nous avons été horrifiés qu’ils aient utilisé une photo de mon fils, qui semblait brûlé, pour faire de la propagande politique. C’est choquant et affaiblissant. C’est difficile pour moi ; le cynisme et l’hypocrisie sont si intenses. »
Les propos d’Avishai font écho à ceux d’autres familles d’otages, qui dénoncent l’utilisation de leur souffrance dans des luttes politiques internes.
Dimanche plus tôt, le premier ministre Benjamin Netanyahou a déclaré que les manifestations renforçaient le Hamas :
Ceux qui réclament aujourd’hui la fin de la guerre sans avoir vaincu le Hamas ne font pas seulement renforcer la position du Hamas et retarder la libération de nos otages ; ils font en sorte que les horreurs du 7 octobre se répètent et que nous devions mener une guerre sans fin.
Un média haredi a relevé le cynisme des manifestants : vous voulez libérer les otages mais vous bloquez les routes, comment allez-vous faire ?


Les manœuvres contre Bibi et l’avenir d’Israël
1. Un plan pour remplacer Netanyahou
Les globalistes, alliés à la gauche israélienne, cherchent à écarter Benyamin Netanyahou pour le remplacer par un dirigeant docile, prêt à obéir au doigt et à l’œil. Leur modèle : un Lapid ou tout autre profil soumis aux pressions extérieures. Pour eux, l’idée même d’un État-nation fort et souverain doit disparaître.
2. Le rôle des puissances financières mondiales
À travers des réseaux tels que le Forum économique mondial, des figures comme George Soros et Larry Fink exercent une influence qui, selon certains, nuit à Israël bien plus que les menaces régionales. Cette ingérence extérieure fragilise le pays de l’intérieur.
3. Le 7 octobre : une tragédie exploitée
De nombreux Israéliens accusent la gauche et ses alliés d’avoir instrumentalisé la tragédie du 7 octobre. Les commandants de Tsahal, désignés par la Cour suprême, auraient dissimulé des signaux alarmants concernant le Hamas, privant Netanyahou d’informations vitales. Aujourd’hui, les manifestations autour de la question des otages semblent moins guidées par la compassion que par l’objectif politique de renverser le Premier ministre.
4. Des institutions sous influence
Depuis des années, la gauche a infiltré des rouages essentiels de l’État, de l’armée à la Cour suprême. Pour ses détracteurs, cette élite a trahi l’intérêt national et porte une responsabilité historique dans le sang juif versé.
Conclusion
La bataille politique qui secoue Israël dépasse la seule figure de Netanyahou. Elle oppose deux visions irréconciliables : celle d’une nation souveraine, fidèle à ses valeurs et à sa sécurité, et celle d’un Israël affaibli, soumis aux diktats extérieurs et aux élites mondialisées. Le choix de l’avenir du pays est plus crucial que jamais.
Et vous oubliez :
5. Israël est un pays de droite, une majorité importante vote à droite, la jeunesse est plus à droite que leurs parents, ce qui est un cas unique et assure que l’avenir ira dans la bonne direction. Tout cela montre que bien que Netanyahou ait laissé la gauche infiltré les rouages essentiels de l’Etat, le 8 octobre l’a transformé, et il a réveillé les électeurs.
Partout ou la gauche est au pouvoir, c’est la décadence qui s’installe, la justice, la police, l’économie, la liberté de paroles sont bafouées. Israel ne fait pas exception à la règle.