Les forces en état d’alerte maximale avant la prière du vendredi sur le Mont du Temple – (c’est aussi la veille de Ramadan)

Itamar Ben Gvir a fait sa montée matinale sur le Mont du Temple, accompagné de policiers, le 31 mars 2022

Les forces israéliennes sont en état d’alerte maximum à l’approche de la prière du vendredi sur le Mont du Temple à Jérusalem, et du début du mois du ramadan, dans le contexte des attentats terroristes.

La police a envoyé des centaines de renforts dans la capitale et a mis en place un commandement spécial, tandis que les forces de défense israéliennes ont déployé 12 bataillons supplémentaires en Judée Samarie, où une série de grandes manifestations antisémites sont prévues.

Le ramadan commence samedi en Israël. C’est supposé être un mois sacré, un mois de recueillement, mais dans la réalité, c’est un mois de tueries, de bains de sang, d’attentats et d’explosions qui font des milliers de morts, principalement parmi les musulmans. Comme chaque année, Dreuz.info rapportera quotidiennement le détail de ces massacres partout dans le monde, car la réalité de l’islam est cachée par les médias, et il faut bien que quelqu’un fasse ce travail – je suis le seul journaliste occidental à le faire – en anglais pour Pamela Geller, et en français pour Dreuz.info.

Malgré les attaques terroristes, Israël a décidé de ne pas limiter la participation aux prières du vendredi à la mosquée Al-Aqsa du Mont du Temple.

Ce jeudi 31 mars, le député Itamar Ben Gvir a fait l’ascension du Mont du Temple, refusant de céder aux menaces du Hamas, et rien ne s’est passé

Le président d’Otzma Yehudit, MK Itamar Ben Gvir, est monté au le Mont du Temple jeudi matin, accompagné de la police. Pendant ce temps, la police faisait attendre tous les autres Juifs à l’entrée jusqu’à ce que Ben Gvir ait terminé. La crainte était grande de voir le Hamas tenter de perturber la visite par la violence.

Mercredi soir, le porte-parole du Hamas, Fawzi Barhoum, avait mis en garde Ben Gvir “contre toute approche de la mosquée Al-Aqsa” – c’est le nom que les médias européens emploient, car ils participent à l’effacement des liens entre Israël, Jérusalem et les juifs à la demande des islamo-gauchistes. En réalité, les musulmans appellent ce lieu depuis des siècles “Bait al-Maqdis”, littéralement “le Temple”, mais chut, il ne faut pas le dire, car ils nient, avec la complicité de l’UNESCO, qu’il n’y ait jamais eu un temple juif à cet endroit.

Barhoum a non seulement menacé, mais il a dit que les juifs seraient responsables de la violence qu’eux, les terroristes du Hamas, déclencheraient :

“Nous faisons porter à l’occupation sioniste la responsabilité de l’impact et des conséquences de ce mouvement dangereux et provocateur.”

Le Mont du Temple est considéré comme sacré par les musulmans et les juifs. Le site est le troisième site le plus sacré de l’Islam – j’ai vérifié, c’est exact, mais en apparence, cette sacralité est bien plus marginale que leurs deux premiers lieux saints, alors que pour les Juifs orthodoxes, c’est LE site le plus sacré, où se trouvaient les deux temples bibliques, et c’est au Mur occidental, pas sur le Mont du Temple, que les juifs se rendent quotidiennement.

© Jean-Patrick Grumberg pour Israël 24 7.org

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