Nous vivons à l’heure actuelle des guerres dont quelques-unes nous ont été imposées, tandis que d’autres résultent d’un étrange et surprenant effet domino, sonnant l’hallali d’un sursaut inattendu et déconcertant d’antisémitisme généralisé – mal incurable.
Vieille rengaine qui refuse de s’essouffler ! Dans la mêlée c’est la palestinisation de la planète entière ou presque. Dans le fond, il fallait trouver un bouc-émissaire à ce mal récursif qu’est l’antisémitisme, l’antijudaïsme, en un mot la haine du juif. C’est à vous dégoûter.
Gueuze hallucinante qui réapparaît sur tous les tableaux, dans toutes les scènes, dans tous les milieux, nantie d’une panoplie déconcertante de mensonges et d’accusations sans fond.
Dans ce scénario macabre, où la mort s’amuse à frapper dans tous les coins du monde, nous découvrons un aspect assez particulier chez le juif, et encore plus intrigant chez le juif orthodoxe.
Mais avant de nous concentrer sur le juif orthodoxe, osons expliquer les causes de cet antisémitisme qui ne cesse de s’infiltrer dans toutes les communautés, même celles, si peu concernées.
Le juif qu’il le veuille ou non, engendre une crainte/menace bien-fondée au sein des autres peuples. Hormis le fait que sa foi ait été l’objet de substitution, de détournement, d’escroquerie, elle demeure le socle sur lequel, les deux principales religions se sont bâties.
En outre, personne n’aime se sentir surpassé, supplanté par le génie juif, ses capacités et ses facultés qui parfois font défaut chez les « autres », en particulier, ceux dont l’intelligence n’a jamais été provoquée ou galvanisée.
Or, le juif excelle, peu importe où il se trouve, il réussit à survivre et à devenir du même coup, l’objet de convoitise, de jalousie, d’ambition, de concupiscence – le pas essentiel pour en faire un élément prétendument nocif. Nous savons tous que les riches exploitent les moins équipés financièrement et intelligemment… personne n’a le courage de se demander pourquoi c’est toujours le juif qui parvient avec plus d’aisance à paver sa voie vers la richesse, l’opulence, le pouvoir, le trône… et les autres demeurent en arrière. Tous les juifs ne sont pas forcément dotés de ses capacités. L’histoire nous en offre une myriade d’exemples, dont celui de Joseph, devenu le bras droit de Pharaon égyptien.
Un exemple des plus flagrants, concernant le juif nous est plus récemment fourni par la découverte d’Albert Einstein de sa théorie de la relativité, qui en fin de compte, démantèle celle initiale de Newton, bien ancrée en Angleterre.
Voilà encore un sujet de la haine du juif. « Sans Eddington, la relativité n’aurait pas été prouvée et Einstein ne serait jamais devenu l’icône du génie ». Eddington s’est attiré les foudres de sa communauté, qui n’a pas du tout apprécié sa révélation, appuyée de preuves concernant la théorie de la relativité d’Einstein.
Certains disaient qu’Einstein n’avait nul besoin de procéder à des calculs. Sa découverte, il l’a obtenue en observant le remous du passage d’une calèche sur son chemin et son entourage. Venait-il de comprendre que l’espace n’est pas VIDE, et que c’est une MASSE ? Dans ce cas, quel serait l’effet que toute oscillation routinière ou soudaine aura sur son environnement immédiat ? Je vous suggère d’en déduire des constatations sur notre planète Terre… un tremblement de terre dans une région du globe, ne provoque-t-il pas un tsunami ailleurs ? Une guerre régionale ne finit-elle pas par une guerre mondiale ? Tout récemment, c’est la Syrie qui en paie les frais.
En fin de compte l’attitude des Anglais, en dépit de leur admiration, demeure frustrée… Ils ont été battus par un juif nommé Albert Einstein. Et cela est déprimant.
Mais c’est ainsi dans tous les rayons. Nous trouvons des juifs lauréats de prix Nobel en Physique, en médecine, dans l’art, dans l’économie, dans la littérature… et tant d’autres domaines. Ils ne sont qu’une dizaine de millions, mais ils réussissent à renverser des théories incrustées chez les autres. Ils changent le panorama, les régimes, les conceptions et s’attirent les foudres de tous ceux qui se sentent concernés et des antagonistes.
Cependant, la disparition du concept « Patrie » au sein des Occidentaux, ne peut pas toucher Israël, dont l’existence même en dépend. Si les Occidentaux balayent leur identité, leur culture, leur patrie, ils seront demain, les victimes de tous ceux qui ont bien calculé le projet d’assujettir le monde libre.
Et c’est là que nous découvrons l’étoffe du juif israélien. Orthodoxe ou pas, on observe les parents des soldats morts sur le champ de bataille et surtout nous les entendons, déclarer…
« Cher fils et fille, cher soldat et soldate nous sommes fiers de vous, de votre bravoure, de votre conscience et de votre responsabilité envers vos frères, votre famille, votre pays et votre foi. Vous répondez à ce fameux dicton juif qui dit : Nous sommes tous responsables les uns des autres… Que nous le voulions ou pas. Mais n’est-ce pas quelque chose qui s’allie à la théorie de la relativité ?
Thérèse Zrihen-Dvir