Même quand l’une des ultimes aspirations communes à toute la société israélienne est atteinte, à savoir la libération de la totalité des derniers otages, ce qui était inespéré, on assiste à des aboiements et à des irruptions de haine irrationnelle et pathologique contre le Premier ministre et contre le Gouvernement d’israël sur la Place des otages.
On était en droit de s’attendre à un moment de communion collective transcendant tous les clivages en telle circonstance.
Pour le plus grand bonheur des ennemis d’israël, la Place des otages est devenue le lieu du culte de la haine abyssale et gratuite d’une minorité obsessive à l’encontre de la majorité juive de ce pays.
Meir Ben Hayoun
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