L’écolière de 14 ans arrêtée affirme qu’elle n’a pas poignardé la femme juive, et qu’une autre fille est sur le film.
La police soupçonne la soupçonne d’avoir infligé la blessure à Moria Cohen devant ses enfants il y a deux jours. Son visage est visible sur la vidéo, mais elle a déclaré lors de l’interrogatoire que ce n’était pas elle.
Dans cette affaire, deux personnes ont été arrêtées, et la seconde n’est pas nommée, mais cette personne, selon la police, a aidé la jeune fille à se cacher et à brouiller les pistes.
Il est possible qu’il s’agisse de la mère de l’adolescente, qui a été arrêtée pour interrogatoire le même jour.
L’incident a eu lieu à l’intérieur des limites de la zone, où vivent des résidents non seulement arabes, mais aussi juifs, qui se sont installés à cet endroit en tant que pionniers.
L’histoire familiale de la jeune fille a été révélée hier à Haaretz. La famille aurait fui Haïfa en 1948 (comme beaucoup qui prétendent avoir été chassés par les juifs), a reçu un logement à Sheikh Jarah grâce à la loterie de l’ONU et de la Jordanie, et après le début des expulsions du quartier en 1974, du fait que leur occupation est en réalité illégale, elle vit dans une peur constante et bien compréhensible. Le grand-père de la terroriste de 14 ans est l’un des militants de la lutte contre l’expulsion des familles arabes. La situation de la petite-fille peut avoir motivé son acte. Les partisans de l’expulsion ont maintenant un argument supplémentaire, mais en réalité, ils n’en ont pas besoin, car la situation juridique de la zone, que j’ai étudié en détail, ne leur donne pas raison.
La police envisage de mettre en place un poste de contrôle à l’entrée de Sheikh Jarah pour éviter de nouveaux attentats.
© Equipe de rédaction Israel247.org.
Source : https://news.israelinfo.co.il
Pauvre victime poignardée devant ses enfants par une gamine élevée dans la haine antisémite. Ses parents et grands-parents devraient rendre des comptes.
Et cela devrait accélérer l’expulsion de ces squatters (si j’ai bien compris).