D’importantes forces de police évacuent de force une famille israélo-arabe de sa maison, construire illégalement, sans permis de construire et sur un terrain qui ne lui appartient pas, dans le quartier Shimon HaTzadik (Sheikh Jarrah disent les antisionistes pour tenter d’effacer les liens entre les juifs et leur terre) de Jérusalem Est lundi matin.
Le père de famille s’est retranché sur le toit de la maison avec ses enfants, une bouteille de gaz et un bidon d’essence, et il a menacé de faire tout exploser.
Une équipe de négociateurs de la police essaie en ce moment de le persuader de descendre pacifiquement et de ne pas « BOUM ».
- Muhammad et Lital Salahiya vivent depuis des décennies dans une grande propriété du quartier Shimon HaTzadik.
- Muhammad affirme que son père a acheté le terrain avant 1967.
- Mais le cadastre et les documents officiels racontent une toute autre histoire : la zone fait partie du « vignoble du Mufti », une terre qui appartenait au musulman préféré d’Adolf Hitler, Haj Amin al-Husseini, et qu’elle a donc été expropriée en vertu de la loi sur les propriétaires absents.
- La famille n’a aucun droit sur ce terrain, elle a construit sa maison sans même se soucier de savoir à qui il appartenait ! Il convient de noter que dans tous les pays du monde, si vous construisez une maison sur un terrain qui ne vous appartient pas, vous êtes assuré d’une expropriation/ destruction manu militari, mais il semble que cela ne soit pas applicable aux Juifs, et que les nations considèrent encore comme devant se soumettre la tête courbée à leurs ordres, et comment ont-ils l’arrogance de décider qu’ils possèdent ces terres.
Il y a environ cinq ans, la municipalité de Jérusalem a annoncé qu’elle prévoyait d’exproprier la zone pour y construire un établissement scolaire. Depuis, la famille mène une bataille juridique contre son expulsion mais elle n’a jamais réussi à prouver qu’elle était propriétaire, et ce pour une raison simple : elle ne l’est pas ! D’ailleurs, comme partout dans le monde, même si cette famille prouvait qu’elle est propriétaire, la municipalité a le droit d’exproprier n’importe quel endroit pour le bien commun, cela se produit tous les jours en France, et là encore, les militants antisémites qui se prétendent pro-palestiniens ne savent mais ne l’admettent pas pour les juifs dont ils ne reconnaissent aucun droit d’exister nulle part sur cette planète. Lors des expropriations, la ville évalue le bien et le paye à la valeur du marché.
- Il y a un an, la juge Anat Singer du tribunal de district de Jérusalem a statué en faveur de la municipalité et a déterminé que les membres de la famille pouvaient être évacués, car les occupants n’ont pas de titres, rien.
- La semaine dernière, l’avocat de la famille a déposé une demande urgente pour empêcher l’expulsion, affirmant que l’ordonnance ne s’applique qu’au couple et pas aux autres membres de la famille ! qui vivent également dans le complexe, feignant d’ignorer que ce n’est pas le couple qui est visé, mais la maison, qui doit être détruite.
- La juge Einat Avman-Müller a accueilli cette demande bizarre et désespérée et a demandé la réponse de la municipalité, mais s’est abstenue de délivrer une injonction contre l’expulsion.
Il faut noter que l’expulsion de lundi n’est pas liée à la bataille en cours à d’autres endroits de Shimon HaTzadik entre les propriétaires juifs des maisons du quartier et les squatters arabes qui refusent de payer leurs loyers, et honorer plusieurs décisions de justice pour les faire partir, y compris les engagements qu’ils ont pris. Mais ça, vous ne le lirez pas dans les grand médias, qui reprennent le narratif arabe sans vérifier s’il est vrai.
© Jean-Patrick Grumberg pour Israël 24/7.org
Source : https://www.jewishpress.com
Perso je lui prêterais bien mon briquet après m’être assuré que les enfants aient été éloigné de ce frapadingue escroc