L’activiste israélien de droite et militant contre la gauche maléfique, et qui se fait appeler « Grande mauvaise ombre », rapporte ce récit, qu’Israël24/7 a traduit pour vous :
Je veux vous raconter une histoire. Retour sur 2021.
Riklin est allé couvrir les manifestations de gauche sur la place Habima pour la chaîne 20 (avant qu’elle ne devienne chaîne 14, une chaîne vraiment de droite). Ce qui aurait dû être une émission de routine a failli tourner en lynchage en direct, des centaines d’anarchistes attaquant un journaliste en Israël à cause de ses opinions.
Moi, qui regardais depuis chez moi à proximité, je n’ai pas pu rester indifférent. J’ai couru là-bas comme un fou, ne voulant pas rester seul face à une bande de voyous ivres de haine qui frappaient un homme en criant « démocratie ». Dès qu’ils m’ont vu ? Tous ces « courageux » ont disparu dans leurs trous comme des rats.
Le lendemain, Riklin, qui ne voulait pas abandonner, est retourné là-bas, cette fois avec un studio improvisé. Et moi ? Bien sûr, je suis revenu aussi. Mais cette fois pas seul, je suis venu avec Yoni Hana, un tank en forme d’homme, un vrai dur. Inutile de dire que la diffusion s’est déroulée dans un calme absolu. Soudain, plus de cris, plus de héros, plus de « combattants de la liberté ». Tout le monde était devenu calme et poli.
Et à propos de ce qui s’est passé la nuit d’avant, une attaque violente contre un journaliste en Israël, devant les caméras, sur la place, en avez-vous entendu parler dans les médias ? Rien. Nada. Niente.
Pas un seul hypocrite du clan « des élites éclairées » n’a soufflé mot.
Aucun journaliste n’a eu peur, aucun commentateur n’a été choqué, aucun député n’a crié, personne n’a parlé de la « fin de la démocratie » à propos de l’attaque contre ce journaliste.
Disons-le entre nous, ce n’est pas surprenant. Parce que quand ils nous attaquent, c’est une « manifestation légitime ». Quand nous respirons l’air de la rue, c’est du « fascisme ».
Hypocrites misérables…