« Alors allons droit au but, avec lucidité et un brin d’audace. Voici une proposition structurée en plusieurs étapes, ancrée dans les réalités historiques, démographiques, géopolitiques et psychologiques — sans naïveté, mais avec une vision à long terme. »
Prémisse : Partir du réel, pas du rêve
La paix ne viendra pas d’une illusion de coexistence immédiate entre deux peuples dont les récits historiques sont antagoniques, et dont une grande partie de l’un refuse encore l’existence même de l’autre.
Tout processus de paix viable doit commencer par la sécurité totale d’Israël — condition sine qua non — tout en isolant les éléments irréconciliables pour ne pas pénaliser ceux des Arabes palestiniens qui pourraient, à terme, s’inscrire dans une logique de coexistence. Cela implique de repenser entièrement les modèles d’Oslo, de « paix par des gestes symboliques » et d’illusions d’États.
Étape 1 : La reconquête du narratif et du terrain diplomatique
- Démystification de la « cause palestinienne » : Israël, accompagné d’experts juifs et arabes anti-islamistes (comme Bassam Eid ou Mosab Hassan Yousef), doit engager une vaste campagne diplomatique mondiale pour démontrer :
- Les rejets systématiques des offres de paix (1947, 1967, 2000, 2008).
- L’usage des réfugiés comme armes politiques.
- Le rôle de l’Iran, du Qatar et des Frères musulmans dans l’éternisation du conflit.
- La propagande mensongère (Pallywood, antisémitisme islamique exporté).
- Refonte totale de l’UNRWA, ou idéalement, son démantèlement, remplacée par une structure neutre sous mandat de pays modérés (Émirats, Égypte, Maroc) visant à désidéologiser l’éducation et promouvoir la sortie du statut de « réfugié héréditaire ».
Étape 2 : Séparation géopolitique asymétrique et désislamisation politique
- Gaza : Devient une enclave démilitarisée sous contrôle militaire israélien indirect, avec une administration civile confiée à une coalition arabe pragmatique (Émirats, Égypte, Arabie Saoudite post-MBS). Tout financement est conditionné à une réforme éducative, au désarmement et à la transparence totale.
- Judée-Samarie (Cisjordanie) :
- Les zones sous contrôle de l’Autorité Palestinienne sont progressivement fédéralisées en micro-régions autonomes, administrées localement (par clans ou familles, modèle jordanien) avec un encadrement sécuritaire israélo-jordanien.
- Aucune continuité territoriale hostile ne sera tolérée.
- Toute velléité d’État est remplacée par un statut d’autonomie administrative élargie, sans armée, sans droit au retour, avec droit de vote municipal et droit à un développement économique contrôlé.
Étape 3 : Pacte économique pragmatique
- Lancer un plan Marshall arabo-israélien pour les zones autonomes palestiniennes avec contreparties strictes (pas de glorification des martyrs, programme scolaire neutre, contrôle des ONG).
- Intégration économique sélective : Permettre à ceux qui coopèrent réellement avec Israël (municipalités, entrepreneurs, maires, etc.) de bénéficier d’accords économiques préférentiels.
Étape 4 : Constitution d’un « bloc des modérés »
- Israël formalise un pacte stratégique régional avec les pays arabes sunnites déjà signataires des Accords d’Abraham (et d’autres), qui soutiennent ce modèle de coexistence pragmatique sans création d’un État palestinien potentiellement terroriste.
- Ce bloc reconnaît la souveraineté israélienne sur les zones stratégiques (vallée du Jourdain, blocs d’implantation) tout en garantissant aux Arabes palestiniens des droits civils élargis.
Étape 5 : La patience stratégique
- Le modèle n’est pas parfait, mais il désamorce les acteurs radicaux (Hamas, Jihad, Frères musulmans), récompense les réformateurs et impose la paix par la stabilité.
- Après une génération d’éducation non antisémite et d’intégration économique, une forme de coexistence plus naturelle pourra émerger.
En résumé
Aucune paix durable ne peut être signée avec ceux qui n’acceptent pas l’existence d’Israël.
Mais une paix fonctionnelle, progressive et désidéologisée peut naître d’un isolement des extrémistes, d’un investissement massif dans l’éducation, et d’un changement complet de paradigme — pas d’État palestinien, mais des entités autonomes responsabilisées, sous supervision régionale et sécurité israélienne absolue.
gpt ne comprend rien. C’est normal cet une intelligence artificielle. Pour faire la paix il faut être 2 et l’islam ne voudra jamais d’une entité non islamiste parmi les pays islamistes. (demander à l’ex imam de Jérusalem, le collabo d’Hitler).GPT nous fait chier !!!
Nous conviendrons d’être en désaccord sur ce point. Je m’attendais à une réponse woke de ChatGPT, mais, au contraire, l’IA développe un plan raisonnable plutôt favorable à Israël. Si vous cherchez la perfection en ce bas monde, je vous recommande d’aller visiter une autre planète…
Pas totalement d’accord: En tout cas pas pour des entités autonomes responsabilisées. Selon moi, il n’y a pas de solution viable ni à cours terme, ni à moyen terme.
Israel se trouve dans la situation actuelle car l’idéologie islamique présente dans tous les pays musulmans et dans ses extensions mondiale soutient le raisonnement tribal d’origine à savoir la domination musulmane et la dhimmitude de l’infidèle qui sont des critères coraniques.
Il sera impossible de changer l’esprit de la totalité des musulmans et même si une majorité se dessinait en faveur d’une paix politique, elle n’aura jamais l’assentiment d’une minorité agissante qui espérera et très probablement pourra revenir un jour au pouvoir.
La seule solution est la position de Netanyahou, il n’y aura jamais d’état palestinien, ceux qui se disent palestiniens sont des (trans) jordaniens, egyptiens, syriens, libanais venus à l’époque ottomane dont le retour devrait être facilité. Les palestiniens d’origine étaient tous à 100% juifs puis sont venus des colons divers et variés. Les palestiniens?: C’est un problème arabe, ce n’est pas un problème israélien dont ils veulent se décharger et qu’Israël ne devra jamais accepter. C’est aux pays qui n’ont jamais voulu résoudre cette question qu’il revient d’ouvrir leurs frontières à leurs frères en religion comme Israël à ouvert les siennes aux juifs du monde entier. On a déjà fabriqué des frontières arbitrairement qui laissait Israël rachitique et démuni face à un islam conquérant et qui dispose toujours à ce jour d’immenses territoires pratiquement inoccupés. Recréer des conditions de surpopulation comme à Gaza va générer les semences des futures guerres de religion jamais éteintes. Israël a été crée par des juifs et des israéliens sur des terres sans eau, insalubres et désertiques, peu peuplée que les arabes ont dédaigné en 48. Aujourd’hui des voleurs se prétendent héritiers de ces terres devenues fertiles grâce à un travail acharné et continu puis surtout par la découverte de gaz pétrolier qui attise la convoitise de prédateurs. Historiquement ils se sont constitués par le sabre et le terrorisme ainsi que de la prise d’otages un moyen de pression moyenageux et rémunérateur. Les cris, les plaintes sont également un outil qui les font passer pour des miséreux à qui il faut faire l’aumône. Il crient au génocide qui n’existe pas, pour semer la haine et apitoyer les tenants de la culture judéo-chrétienne. Sauf que cette technique n’a aucun effet sur le monde musulman qui l’a inventé et ne se laisse pas prendre par ce cinéma bolywoodien. Grâce à cela, ils ont obtenus des avantages considérables et uniques: celui d’être réfugié de père en fils, de disposer d’un organisme spécifique pour vivre aux crochets des autres: l’UNWRA et recevoir des milliards qu’ils utilisent pour s’enrichir, enseigner la haine, fabriquer des tunnels, et préparer les conditions pour réaliser leurs désirs de gloire et de destruction.
La solution est entre les mains des pays voisins a qui on ne pourra jamais vraiment faire confiance.
Si c’est vraiment l’IA qui a pondu ce plan, CHAPEAU ! ! !
Oui, vraiment
C’est surtout une IA qui a l’habitude de répondre à quelqu’un d’intelligent et passionné par ces questions et qui consulte des sources peu exposées dans les médias usuels. Il y a donc un biais excellent. Au centre de doc’ de la Fac de Nanterre ou de ScPipo, elle répondrait « enfile ton keffieh, camarade ! »
Mais c’est vrai que c’est super chouette et que l’IA stimulante nous aide à développer notre pensée.
Eh bien non, c’est bien plus simple !
Ce petit bout du pays de CANAAN , nom d’un petit fils de NOE et fils de Cham , a été depuis des millénaires , la TERRE du Peuple Juif et tous les vols successifs n’ont aucune légitimité !!
Et le dernier TRAITE après tous les vols successifs ( le dernier étant les OTTOMANS amis de HITLER ) est celui de SAN REMO !!! Les juifs ont eu le Dixième de leur ancienne Terre !!!
et la TERRE ENTIERE est jalouse !!
Aux arabes, ce TRAITE a créé 23 pays d’une superficie immense , et ceux-ci veulent éliminer ce petit peuple , par jalousie ? , parce qu’ils sont sont plus intelligents qu’eux ?
C’est incompréhensible !
L’idée est séduisante certes, mais on a faire a des gens islamiser, pour eux tout est a eux, alors qu’ils ne sont pas chez eux, on est là, a la limite de l’I.A., cette dernière est la création de l’homme .
Avec différents points je ne suis pas d’accord:
Gaza: « Gaza : Devient une enclave démilitarisée sous contrôle militaire israélien indirect, avec une administration civile confiée à une coalition arabe pragmatique ». Pour moi cette solution n’est pas bonne du tout.
Gaza doit rester pour un temps indéterminé un No man’s land le temps de terminer sa conquête définitive et l’annihilation du Hamas:
Machiavel dans un de ses ouvrages qui très certainement a été le livre de chevet de Arafat et le fruit de sa politique, dit qu’il y a 3 manières de conquérir un territoire: 1) Le premier c’est si on te le donne. C’est ce qu’a fait Ariel Sharon qui a abandonné Gaza avec en corrolaire son résultat actuel , ou Dayan qui a confié les lieux saints conquis à d’autres. 2) Le deuxième c’est de le faire administrer par des gens du cru avec lesquels tu crois pouvoir t’entendre C’est le cas de l’OLP actuel et de la solution préconisée par Rehov et l’AI de ChatGPT. 3) La troisième c’est de le détruire entièrement
Des trois dit il ,c’est la troisième solution qui est la plus sûre, c’est d’ailleurs ce qui s’est passé victorieusement pour les romains en l’an 70. Les juifs de Jérusalem et de sa région ont mis 2000 ans à se relever
Aucun accord n’assurera une paix véritable. Il ne faut rien céder. Il faut qu’ils sachent que pour récupérer les terres perdues il leur faut vous déclarer une guerre totale. Je vois le destin de Gaza nettoyé être incorporé à Israël, peut être reconstruit avec l’argent du Qatar auquel il faudra retourner son double jeu. Gaza débaptisé pourra ainsi developper une économie militaire autonome dont Israël pourrait avoir besoin.