Toute initiative comportant l’adjonction d’une entité étrangère quelconque sera prise/considérée comme un cheval de Troie.
Tout volontaire, qui prétendument, offre son aide, désire contribuer à l’anéantissement du Hamas et à la restauration de la bande de Gaza ne le fait pas innocemment, mais nourrit l’espoir de s’implémenter, ou d’arracher quelques bénéfices territoriaux et/ou des faveurs du monde musulman.
Cela suffit !!! Vous vous ridiculisez !
Personne ne s’est jamais porté volontaire pour combattre nos envahisseurs et ennemis, et cela date depuis 1948 et s’étend à aujourd’hui, 2025.
Le monde arabe et occidental s’est figé lorsqu’on nous assassinait sur les artères de Nahal Oz, sur les kibboutzim au sud et au nord, sur le terrain vague du Nova, dans les rues d’Ofakim et de Sdérot, à Métoula et Kyriat Shemona. Personne n’a dépêché un secours quelconque : Docteurs, ambulances, secouristes – « SILENCE ON TOURNE » résonnait comme le glas dans cet enfer brutal et soudain. Nous étions seuls et le demeurions à chaque reprise, à chaque étape, à chaque belligérance. Si seulement, les occidentaux et les pays arabes avaient eu un tant soit peu d’humanité envers le peuple d’Israël – mais c’est trop demander.
Golda Meir avait été contrainte de menacer le président des USA d’user le nucléaire, si toute aide lui est refusée durant la guerre de Kippour.
Le 7 octobre 2023, il y en a eu même ceux qui ont festoyé, ont distribué des friandises et d’autres qui ont souri à l’arrache-gueule d’Israël par les hordes de terroristes de Gaza.
De ces amis-là, on n’en veut pas !
Restez chez vous et laissez-nous traiter nos conflits, nos guerres, nos morts et nos orphelins… Chaque jour qui naît, on nous réveille avec l’annonce d’un soldat ou plusieurs, morts sur le champ de bataille. C’est devenu un rituel depuis 1948 à aujourd’hui, et ça ne rate jamais.
Quant aux blessés et estropiés, on n’ose plus les compter. Je n’oublierai jamais, ce jeune soldat dans sa voiture qui avait perdu ses deux bras durant la guerre de Kippour et qui avait stationné devant mon arrêt de bus pour me proposer de me conduire chez moi. « Il fait trop sombre, m’avait-il dit. C’est dangereux avec les temps qui courent, de voyager de nuit. J’ai lutté durant tout le trajet pour garder les yeux baissés et l’empêcher de voir mes larmes.
Ni n’oublierai le père de l’un des camarades de classe de ma fille, venu sur les prothèses de ses deux pieds, joindre les écoliers comme accompagnateur lors d’une excursion au nord du pays.
Merci chers occidentaux, pour nous avoir jetés, comme on jette une curée aux chiens au sein des Arabes afin qu’ils achèvent le travail entamé par Hitler ! Oui, les Arabes de Palestine et tous ceux de la ligue arabe veulent notre mort. Et vous le saviez ? Toute cette hypocrisie sert à quoi exactement ? Nous faire croire aujourd’hui que vous avez changé de peau – c’est de l’invraisemblable. Il faut être soit fou, soit idiot, ou aveugle, et cela ne sied pas du tout à beaucoup de chefs d’État, dont parfois un des nôtres malheureusement. Les juifs aiment la paix et paient de leur sang un vœu irréalisable.
Il faut oublier ces idées d’une paix possible entre les pays arabes et Israël. Ils sont plus divisés entre eux que nous le sommes entre nous.
Combien de fois devons-nous nous excuser pour être en vie ? Combien de fois allons-nous tomber dans le piège béant de tous ces opportunistes/aventuriers de tous bords, venus nous miroiter les bienfaits d’une paix/carotte attachée au bout de leur ligne, pour mieux nous tuer ?
AM ISRAËL HAY
© Thérèse Zrihen-dvir