Guignolesque : “un État palestinien en paix et harmonie côte-à-côte avec Israël”

Abu Mazen tenant entre les mains une carte 100% mensongère qui laisse croire qu'Israël vole les terres "palestiniennes"

Toutes les manigances de Biden pour concrétiser les vœux secrets d’Obama, tombent à l’eau en ce qui concerne la «déjà vue» proposition de la création d’un État palestinien – En paix et harmonie – côte-à-côte avec Israël.

Tous les investissements de Biden pour faire tomber Bibi de son siège de Premier ministre, et le substituer par un «gauchiste» échaudé qui favoriserait le «re-me-le-dit-le» suicidaire des accords d’Oslo, ne font plus rempart.

Cette fois, c’est le peuple juif d’Israël qui fait rempart et qu’importe qui sera celui qui tenterait de mettre sur pied les instructions de Biden pour quelques bribes de prestige et d’une normalisation «farcée à la Saoudienne».

Les Israéliens ont cessé de jouer !

Ces fameux accords ont coûté la vie à un Premier ministre, Yitzhak Rabin, et ce n’était certes pas par la main unique d’Yigal Amir, mais bien par procuration non formulée ouvertement d’un grand tronçon de la population israélienne qui observait d’un œil terrifié la mort brutale des israéliens – plus de 1500 victimes civiles et militaires qu’Israël a payé pour une paix FARCÉE, et ce n’est malheureusement que la partie visible de l’iceberg. Les Arabes de Palestine, trop avides, veulent une Palestine qui couvre tout l’espace depuis le Jourdain à la Méditerranée – et vlan, plus d’Israël !!!.

Ce piège tendu par le monde libre, les USA et les Arabes de Palestine avait précipité dans son gouffre, les dirigeants israéliens, avec maintes concessions territoriales et autres, chansons et prix Nobel à Arafat, le roi des criminels.

Et pendant que la gauche pleurnicheuse se groupait autour des bougies, des fleurs, et des nounours en peluche, la droite politique et nationaliste faisait froidement ses calculs.

Pendant plus de trente ans, la supercherie s’est maintenue, mais les morts n’ont cessé de s’accumuler. Et tous ceux qui osaient déclarer que le «ROI EST NU», s’étaient retrouvés face à une gauche plus déterminée que jamais à implémenter ces accords suicidaires. C’est à croire que leurs vies en dépendaient alors qu’en vérité, c’était vers leur mort qu’ils se ruaient, d’où le 7octobre, 2023.

Barak Obama est bien vivant et doit secrètement se féliciter pour ses succès accablants dont l’effritement de l’Union Européenne, son islamisation et celle de la plus grande puissance du monde, les USA. Israël n’est qu’un hors-d’œuvre à son projet destructif du monde libre et démocratique.

Mais Israël est aussi un os dur, et il faut beaucoup plus que des intimidations pour le convaincre…

«Il faut savoir dire non même à un ami et un allié des plus fervents».

Cher Bibi, il n’existe pas d’alliés fervents et fidèles, par contre ce qui existe et en grand nombre, c’est l’intérêt qu’ils peuvent soustraire de tous ceux qui les écoutent et peu leur importe le prix que les crédules/naïfs devraient débourser.

Mon bon Monsieur, apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute…

Les intentions de Biden envers Israël n’ont jamais été dénudées d’objectif, et celui de la création d’un État palestinien renferme un sous-entendu des plus dangereux.

Non, Israël ne permettra à personne de lui dicter la voie à suivre… Il sera celui qui tiendra son destin dans ses mains… La conquête de Gaza, n’en est qu’un moignon. Il faut éliminer tous ceux qui veulent sa mort, car les juifs aiment la vie et la sanctifient. Or, le Hamas, l’OLP et consorts, sont parvenus à infecter toutes les régions qu’Israël avait abandonné pour le miroitement d’une paix fictive et piégée.

Gare à tous ceux qui les prennent pour un pion sur leur échiquier politique. L’Arabie saoudite veut un État palestinien (condition à sa prétendue normalisation avec Israël), elle a suffisamment d’espace pour en créer un à ses côtés.

Quant à la normalisation avec les pays arabes, il faut admettre qu’ils en ont plus besoin d’elle, qu’Israël.

Il ne faut jamais vendre sa peau, pour un plat de fayots.

Thérèse Zrihen-Dvir, reprit depuis son blog

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