Des négociations à la Tartuffe

Tous les impliqués et les entremetteurs sont des « Tartuffes » et ils en sont pleinement conscients. Aucun d’eux n’est assez honnête pour véritablement défendre les intérêts des otages ou pour se comporter en « humain parfait et équitable ».

Un Tartuffe = nom masculin et adjectif. Faux dévot. Personne hypocrite.

« Mort aux juifs »

Les Israéliens vivent sous la contrainte de laisser le nord d’Israël sous le feu perpétuel du Hezbollah, proxy de l’Iran… et s’empêtrent dans des négociations sans fin et déraisonnables avec le Hamas qui, lui, a bien fait ses devoirs avant de se lancer dans l’enlèvement d’une troupe d’israéliens, depuis le bébé jusqu’au vieillard, le 7 octobre 2023.

Le comble est qu’Israël est en train de négocier la libération des otages en qualité de « vaincu, de perdant », non pas comme devrait le faire le vainqueur qu’il est, puisque le petit royaume de Gaza du Hamas est réduit en un amas de ruines fumantes, et que son armée, ou ce qu’il en reste, est en fuite.

Le gouvernement israélien doit aussi se mesurer avec les chantages des gauchistes de maison, et des familles des otages qui hurlent jour comme nuit, aux portes des députés et celles du Premier ministre… « Libérez les otages à tout prix » ! C’est gigantesque, c’est absurde et c’est suicidaire. Et cela sape toute objectivité et équité dans la négociation, devenue du début, arbitraire.

Il semble qu’Israël est à son insu, le pivot autour duquel gravitent toute la bassesse, la méchanceté, l’iniquité, le mal, la haine, et le crime des hommes… Comment et pourquoi ?

Seraient-ce les actes et/ou le succès de ce ramassis de vagabonds que sont les juifs qui incitent à leur haine ? Ou bien, ce semblant d’élitisme dont les peuples les accusent à tort ? Cela nargue les puissances et les autres pays de constater, que quelques millions (8 millions) de juifs parviennent à se hisser à leur hauteur et s’aligner à leurs côtés…

Non, rien de tout cela !

C’est l’étoffe du juif israélien qui défie !

Le juif israélien est avant un JUIF qui répète chaque matin à son réveil : J’aime Dieu puisque j’aime la vie et la sanctifie, j’aime mon peuple, la nation juive, mes frères, mes racines, ma foi… Je me sacrifie surtout pour cet amour dont on m’a doté à ma naissance et pas pour un bien matériel, un siège royal ou un lopin de terre… Je veux l’éternité, et je l’aurais grâce à cet amour que j’ai pour mon frère, pour mes semblables…

Cela ne se devine plus, lorsque la mère face au tombeau ouvert de son enfant devenu soldat déclare : « Je suis fière de toi mon enfant, fière de ta bravoure pour ton sacrifice à ton peuple, à tes frères et à nous tes parents ».

Il n’y a d’héroïsme plus grand, plus beau, plus noble, que celui d’aimer et de se sacrifier par amour.

Thérèse Zrihen-Dvir

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