Des génocides, il y en a chaque jour, mais ni vu ni connu si l’ONU refuse d’en parler

https://www.flickr.com/photos/vanissa/3169709616/ Auteur Nissa Tzun

Depuis Adam et Ève, l’être humain ne s’est jamais contenté de tout ce qu’il a reçu et s’est aventuré plus loin, trop loin, dans l’espoir ou la tentation, d’avoir encore plus, davantage…

Le premier couple du monde a été chassé du paradis… Péché initial qui sera suivi par une myriade d’autres écarts qui causeront la mort de leurs semblables…

Caen et Abel ont suivi les traces de leurs parents en maintenant ce péché dont leurs successeurs souffriront à ce jour…

L’histoire nous apprend que la tentation, la soif du « davantage » a culminé en des guerres mondiales, dont la plus atroce a été l’ère du nazisme, d’Hitler. Lui aussi briguait le « davantage ». Un empire aryen qui durerait mille ans. Il n’a reçu qu’une hécatombe inexplicable et vaine… tant de morts, tant de peine et pourquoi ? Pour rien, car l’homme, en dépit de toutes ses connaissances, de ses progrès dans tous les domaines, refuse d’admettre qu’il n’est qu’un visiteur sur notre planète – Une poignée de son sable. Tout est sable…

Nu tu viens au monde, et nu tu le quitteras…

Des conflits éclatent avec chaque jour qui passe, pour des raisons, souvent sans raison, et tous se résument à la tentation, au désir d’avoir plus, de conquérir, de s’enrichir, de s’étendre… et dans quel but au juste ? Cette lutte, cette compétition, ces ambitions feront de nous quoi au juste ? Un être meilleur, un surhomme ? Ou bien nous offrira-t-elle une étincelle de gloire qui s’éteindra de la même façon qu’une étoile filante dans le firmament.

Dès notre naissance, la course commence. Il faut s’instruire, il faut atteindre des sommets, il faut vaincre les plus faibles, il faut, il faut encore et encore… et qu’avons-nous gagné ?

Posez-vous cette question et vous constaterez que le roi le plus renommé, le plus riche, vénéré, adulé, quittera ce monde de la même façon que le dernier des gueux, à la seule différence, du décor et du remous qu’il causera autour de lui – mort dans un lit en or massif… Mais bien mort…

Souvenez-vous de la mort du Shah d’Iran qui, nous disait-on possédait des toilettes en or massif. Rien de tout cela ne l’a sauvé de la mort, ni des souffrances et de la réjection.

Quelle est la différence entre les Mollahs d’Iran, les sbires du Hamas, les terroristes d’Abbas et Hitler ?

Tous veulent imposer leurs lois, leur foi, leurs convictions, leurs rêves ambitieux, leur joug… même au prix de devoir sacrifier leur population. Le Hamas le fait ouvertement, exposant ses concitoyens à la mort, pour se préserver. Et personne n’ose le lui reprocher… Les justiciers de l’ONU et de Hague ferment les yeux sur ses méfaits, comme sur ceux des Mollahs iraniens et de tant d’autres… Mais ainsi va le monde… à la dérive, chaque heure, chaque minute, chaque seconde. Qui sera la prochaine victime, se demande-t-on.

Des génocides, il y en a chaque jour… on en parlera lorsque cela conviendra à l’ONU et à Hague… Sinon, ce n’est ni vu ni connu…

On marchande sur les vies des autres, on joue à l’autruche, on s’applique à démontrer notre pouvoir, lorsque nous rencontrons le plus faible… (Les animaux malades de la peste). Et la justice garde ses yeux bandés tant elle a honte de ce que l’homme a réussi à lui faire faire.

L’Occident a été vendu au Qatar, nous dit-on… avec des pétrodollars, qui ont aidé l’Islam à s’imposer dans toutes les démocraties… qui se figent, et ne savent plus comment juguler son avance inexorable.

Que se passera-t-il ? Les plus faibles tomberont les premiers et les plus forts chercheront à le combattre à l’arme – par des guerres civiles. Encore des morts…

Il faudrait une reprise de conscience de tous ces musulmans qui se sentent intégrés et refusent de reprendre le fil de l’Islam… Mais cela appartient à la fiction, puisqu’avant de connaître une seconde fois, la dictature islamique, ou autre, ils laisseront leur orgueil, leur supériorité, leur morgue, les conquérir… Ils ont réussi à vaincre les Occidentaux, le monde libre leur appartient maintenant et, une fois la jubilation passée, ils s’entretueront pour s’arracher le pouvoir… La foi, les convictions, les réalités se dissolvent dans l’âpreté du croisement du fer.

Et le scénario d’antan revient au galop.

Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme…

Thérèse Zrihen-Dvir, repris de son blog.

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