Des 7 octobre se produiront ailleurs, si l’Occident ne se ligue pas contre les forces du mal

Rasmi Arafat, un éminent terroriste du Jihad islamique de Sichem, éliminé par les FDI.

L’Occident est pleinement conscient des enjeux de la récente guerre d’Israël «Épées de fer»

Ce n’est ni le projet d’anéantissement du Hamas, ni une riposte à l’affront qu’Israël a subi le 7 octobre 2023, avec ses tapis de morts, d’enfants démembrés, de bébés cuits au four, de femmes violées, de vieillards flingués ou capturés… tout un scénario qui sort directement de la géhenne.

Aucune revanche, vengeance, colère ou coup de tête, mais bien une initiative qu’il fallait adopter depuis longtemps et qui a tardé à être exécutée, justement à cause de l’Occident, à cause de ses ambiguïtés, de son dénigrement, de sa complaisance et de son antisémitisme… et tant d’autres éléments qu’il serait préférable de ne pas nommer.

Cet Occident qui vient à peine de comprendre que cette guerre, cette lutte au prix du sang des soldats israéliens, au prix des otages encore entre les mains du satanique Hamas et des cadavres qu’il entend monnayer, n’est pas seulement pour défendre Israël, mais pour défendre l’Occident, sa culture, sa démocratie, son identité et sa vie… Eh oui, SA VIE…

Car cet occident qui a jeté trop souvent, l’opprobre sur Israël est agonisant… et ses jours sont malheureusement comptés, à moins que ce petit caillou haï, logé dans la chaussure occidentale, qui blesse et empêche toute motion habituelle et régulière, et qui s’appelle Israël, ne fasse rempart à cette chute imminente qui se profile.

C’est la barbarie, la violence, la mort, la soumission… Des créatures comme le Hamas ont indubitablement proliféré l’Occident entier, depuis l’Europe aux USA, au Canada, et plus loin encore.

L’Europe hoquète, trébuche, s’excuse, se mord les doigts, tremble en dedans face aux crimes, à l’insulte, à l’outrage, au viol de ses filles, de ses femmes, aux infractions, à l’injustice, à la peur de se voir avalée, et sa population substituée… Ses enfants sont assassinés, ses juifs font leurs valises… sa culture se dissout, son effigie, estompée, sa noblesse, piétinée… Que lui reste-t-il ? Même plus assez d’orgueil et de dignité pour s’appeler encore Europe…

Eurabia serait plus adéquat, nous dit Bat Yé’Or.

Les quelques pays occidentaux, réfractaires, qui ont refusé les nouvelles règles suicidaires de l’Union Européenne, observent et s’inquiètent. Ce raz-de-marée risque de les emporter.

Si Israël flanche, c’est tout l’Occident qui suivra, comme un vulgaire jeu de domino.

Il n’y a qu’à observer ces meutes arabo-musulmanes qui sans honte ni crainte, paradent à tambour battant, pour le Hamas dans toutes les grandes agglomérations du monde, depuis New-York, jusqu’à Rome. Ils crachent leur venin contre l’Occident qui leur a aimablement ouvert ses portes. Ils veulent un monde qui leur ressemble… sans ordre, sans foi ni loi, hormis la charia, sans justice ni décence.

L’Islam n’est apparemment qu’un outil, un paravent pour tous les adeptes de la confrérie musulmane. Et l’Iran est son sosie.

Faire marche arrière est trop tard, il faut l’avouer.

Il ne reste aux pays occidentaux qu’à tenter de juguler une avance difficile à restreindre. Cette manœuvre est valable pour Israël qui va devoir trouver un moyen de diluer la population arabo-islamique qui l’entoure de tous les côtés et même en son sein.

C’est amusant, j’en viens même à regretter l’apartheid tant diffamé.

Mais en fait, c’est à cause de cet apartheid que le monde libre et démocratique se voit envahi… Pas chez les pays arabes qui l’adoptent et le maintiennent, et que personne n’ose traiter de «barbares et d’inhumains !»

Avons-nous été, à notre insu, leurs idiots utiles ? Nos erreurs n’ont-elles pas servi leurs objectifs hégémoniques ? Sans nul doute ! Pensez-y.

Ne vous trompez pas, des 7 octobre reviendront ailleurs qu’en Israël, à moins que les pays occidentaux ne se liguent contre les forces du mal…

Mais c’est une lutte contre des titans enragés, puisque nous leur avons permis de se déchaîner même dans nos villes, au pas de nos portes et leur avons aussi permis l’accès à tous nos systèmes, au gouvernement, à l’éducation, et à nos terres.

«Elles seront à nous demain», disait cette femme en hijab, riant aux éclats…

© Thérèse Zrihen-Dvir, repris de son blog.

Quitter la version mobile