Ce qu’ont déclaré d’éminents Arabes sur les Palestiniens, ils ne pourraient pas le dire aujourd’hui

Carte de la Palestine historique, photo du livre Palestina d'Hadrien Relandi. Page 177

Voilà un dossier que j’ai préparé pour vous, et que vous devez soigneusement conservé dans vos archives, et partager autour de vous. Il vous servira à répondre aux pro-palestiniens. Rien n’est plus fort que la vérité pour faire reculer la propagande.

Avant la partition, les Arabes palestiniens ne se considéraient pas comme ayant une identité distincte.

Lorsque le premier congrès des associations islamo-chrétiennes s’est réuni à Jérusalem en février 1919 pour choisir les représentants palestiniens à la conférence de paix de Paris, il a adopté la résolution suivante :

« Nous considérons la Palestine comme faisant partie de la Syrie arabe, car elle n’en a jamais été séparée. Nous sommes liés à elle par des liens nationaux, religieux, linguistiques, naturels, économiques et géographiques. »

De même, la commission King-Crane a constaté que les Arabes chrétiens et musulmans s’opposaient à tout projet de création d’un pays appelé « Palestine », car cela était considéré comme une reconnaissance des revendications sionistes.

« À Jérusalem, il n’y a pas un endroit que l’on qualifie de sacré et il en va de même pour les tombes d’Hébron ».

« Le sionisme est naturel, beau et juste… qui pourrait contester les droits des Juifs en Palestine ? Mon Dieu, historiquement, c’est votre pays ».

« Il n’existe pas de pays Palestine. La Palestine est un terme inventé par les sionistes. Il n’y a pas de Palestine dans la Bible. Pendant des siècles, notre pays a fait partie de la Syrie ».

« Il n’y a pas d’identité arabe distincte ».

« Il n’existe pas de pays comme la Palestine. La Palestine est un terme inventé par les sionistes. »

« Il n’y a pas de pays qui s’appelle Palestine – absolument pas et il n’y en a jamais eu ».

« La Palestine fait partie du monde arabe, et son peuple fait partie intégrante de la nation arabe. »

« Il est de notoriété publique que la Palestine fait partie de la Syrie ».

« Le peuple palestinien n’existe pas. La création d’un État palestinien n’est qu’un moyen de poursuivre notre lutte contre l’État d’Israël pour notre unité arabe. »

« Les Palestiniens n’ont jamais été un peuple, et nous, Palestiniens, ne pouvons espérer parvenir à la paix que par l’éclatement de l’État d’Israël. »

« Vous ne représentez pas la Palestine – le peuple palestinien n’existe pas ».

« Il n’y a pas de différences entre les Jordaniens, les Syriens et les Libanais. Nous faisons tous partie d’une même nation. Ce n’est que pour des raisons politiques que nous soulignons soigneusement notre identité palestinienne… Oui, l’existence d’une identité palestinienne distincte ne sert que des objectifs tactiques. La création d’un État palestinien n’est qu’un outil dans la bataille contre Israël ».

« Nous faisons partie d’un seul et même peuple palestinien. Mais nous ne sommes qu’un autre État arabe. Notre peuple fait partie de la nation arabe. »

« Les Jordaniens et les Arabes sont considérés par l’OLP comme un seul peuple ».

« Le peuple arabe n’existe pas. La création d’un État arabe n’est qu’un moyen de poursuivre notre lutte contre l’État d’Israël pour notre unité arabe. »

« L’existence d’une identité palestinienne distincte ne sert que des objectifs tactiques. La fondation d’un État arabe est un nouvel outil dans la bataille permanente contre Israël. »

« Pourquoi le 4 juin 1967 j’étais Jordanien et du jour au lendemain je suis devenu palestinien ? La domination jordanienne ne nous dérangeait pas – l’enseignement de la destruction d’Israël faisait partie intégrante du programme scolaire – mais nous nous considérions jordaniens jusqu’à ce que les Juifs retournent dans leur Jérusalem sacrée. L’étoile a été retirée du drapeau palestinien et nous avions désormais un drapeau palestinien.

Lorsque j’ai réalisé les mensonges et les mythes que l’on m’avait enseignés, il était de mon devoir, en tant que personne juste, de m’exprimer ».

Aujourd’hui, il ne servirait pas leurs intérêts de dire ce qu’ils disaient alors, et qui servait leurs intérêts de l’époque. Il est regrettable, mais compréhensible vu le degré de politisation des médias, que les journalistes ne soient pas désireux de replacer les choses dans leur contexte, lorsqu’ils parlent de la Palestine et du « peuple palestinien ».

© Jean-Patrick Grumberg pour Israël 24 7.org

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